Dans l'actuelle Constitution de la République démocratique du Congo, l'article 24 stipule: «Toute personne a droit à l'information. La liberté de la presse, la liberté d'information et de la diffusion par la radio et la télévision, la presse ou par tout autre moyen de communication est garanti dans le respect des réglementations nationales, les bonnes mœurs et les droits des tiers, (...)". La loi souligne par ailleurs la mission des radiodiffuseurs publics d'agir en tant que service public. En outre, la loi existe 96/002 du 22 Juin 1996, qui garantit non seulement la liberté d'expression mais aussi le pluralisme des médias et la liberté des entrepreneurs dans le secteur des médias. Comme cette loi vient de l'époque de la dictature de Mobutu, il a été soumis à l'examen devant le Parlement. En particulier, les points qui définissent les sanctions pour diffamation ou insulte autorités de l'Etat, ont été réécrits, et en ce qui concerne les sanctions sévères d'une infraction journalistique desserré.
L'image du paysage médiatique en RDC, doit être construit sur un cadre juridique solide. Les comportement des médias dans la vie quotidienne, est clair que la première impression est trompeuse, et entre les textes juridiques et la mise en pratique sont deux mondes.
les médias congolais ont le potentiel suffisant pour jouer un rôle actif dans l'élaboration de leur pays. La Constitution permet à la presse, la liberté d'information et de diffusion. Mais seulement après l'endiguement de la corruption et les menaces de violence contre la personne, les médias peuvent atteindre leur plein potentiel et de soutenir le processus de développement démocratique positive.
Jusque-là, cependant, Il y a encore beaucoup de changements nécessaires. Aucun média sera en mesure de remplir son rôle de responsable dans la société, aussi longtemps que les journalistes sont menacés, voire tués, tandis que les stations de radio seront exploitées par les politiciens locaux à des fins de propagande, aussi longtemps que les journalistes sont payés indigne et sans investissement dans la formation et de soutien des médias professionnels. Cela comprend: la nécessité pour les registres de licence d'exploitation de manière indépendante et les médias seront couverts pour les sanctions - une foule de tâches qui n'ont pas été réalisés jusqu'à ce jour sous la présidence de Joseph Kabila. Dans la perspective des élections en Juillet 2011, mais il semble que ce qui concerne le temps restant pour un changement dans le secteur des médias semble très mauvais. Si la condition ne s'améliore pas d'ici là - qui doit être - le paysage médiatique se poursuit par la corruption des élites politiques et leurs besoins personnels sera dominé. Sur la ligne est juste, le journalisme indépendant, qui, bien que garantis par la loi, mais - comme tant* la liberté d'expression* restera en RD Congo - jusqu'à nouvel ordre une illusion.