"la liberté d'expression est de rigueur dans le respect des lois" Ce blog traite essentiellement la situation politique, économique et sociale de la République Démocratique du Congo. Cet espace de discussion traite toute information d'une façon objective, offre la possibilité à ses lecteurs de déposer leur commentaire,de développer un projet ou un point de vue. "le savoir et la creation sont des ressources qui doivent demeurer libre"
vendredi, juillet 30, 2010
La République Démocratique du Congo à besoin d’une loi pour protéger les défenseurs des droits humains
mercredi, juillet 07, 2010
Un écrivain congolais est menacé de mort, Germain Dimbenzi Bayedi vient de publier Procès Mobutu.Un petit succès en librairie qui déplaît !!!
© PATRICK MARTIN / GÉRALD BOSSHARD | Dans son livre Procès Mobutu, Germain Dimbenzi Bayedi s’attaque en fait à tous les dictateurs d’Afrique noire.
Alain Walther | 07.07.2010 | 00:03
Germain Dimbenzi Bayedi, auteur originaire du Congo (Kin-shasa) et titulaire d’un permis B, a beau connaître un succès d’estime avec son ouvrage Procès Mobutu, la peur s’est insinuée dans sa vie. A tel point qu’il a déposé une plainte pour «menaces par SMS». Dans son petit logis de l’Ouest lausannois, celui qui fut journaliste en Afrique avant son exil en Suisse, où il est employé dans un EMS depuis cinq ans, n’arrive pas à oublier les mots anonymes. Leurs auteurs ont au moins réussi à lui pourrir la vie.
«Réveiller le molosse»
«Sais-tu ce qui arrive quand on cherche à réveiller le molosse qui dort? Il mord jusqu’à ce que mort s’ensuive.» Trois SMS de cet acabit sont apparus sur le portable de Germain Dimbenzi Bayedi. Après le coup du molosse, il y eut aussi la phrase «arrête de vouloir nous égratigner, sinon…» et le plus convenu: «Un accident est vite arrivé...»
Chez Payot, à Lausanne, le livre a du succès avec 32 exemplaires vendus et 41 d’ores et déjà commandés. Aux Editions Persée, en France, on annonce une réimpression de 500 exemplaires. Procès Mobutu met en scène le jugement d’un dictateur africain pour les crimes commis au cours de son règne. A la barre, le tyran plaide la cause des peuples du tiers-monde, et rejette la responsabilité des plaies qui frappent le continent africain sur les grandes puissances occidentales. On compte quelque mille Congolais (de Kinshasa) à Lausanne. Les courants pro-Mobutu ou pro-Kabila y sont représentés. «Moi, je suis neutre, ni d’un bord ni de l’autre. En fait, dans mon livre, je vise tous les dictateurs africains.»
Les pro et les anti
Le téléphone portable employé pour envoyer les menaces ne répond évidemment pas. Germain Dimbenzi Bayedi se défend d’avoir monté ce coup pour se faire de la publicité. «Si tel était le cas, j’aurais de gros ennuis avec la police et la justice.» Alors, qui peut en vouloir à l’auteur d’un ouvrage, aussi explosif soit-il, dont le nombre d’exemplaires ne dépassera pas mille?
Selon un connaisseur de la diaspora congolaise à Lausanne, «cela peut être personne et tout le monde. Pro- et anti-Mobutu, cela commence à faire loin.» La police a pris l’affaire au sérieux et prend régulièrement des nouvelles de Germain Dimbenzi Bayedi.
vendredi, juin 25, 2010
La RDC "a l'un des pires climats d'affaires au monde"
lundi, juin 07, 2010
Assassinat de Monsieur Floribert Chebeya Bahizire, Directeur Exécutif de l'organisation de défense de droit de l'homme en RDCongo
dimanche, mai 16, 2010
Voici quelques images de l' exposition du roman fiction politique"Procès MOBUTU" de Monsieur Germin Dimbenzi au salon International du livre à Genève
lundi, mai 03, 2010
Nous ne devons pas oublier les victimes de la guerre au Congo "The Guardian, Friday 23 April 2010 "
mardi, avril 27, 2010
Un nouveau roman de fiction politique intitulé<< Procès MOBUTU>> vient de paraître aux éditions Persee à Paris.
dimanche, avril 18, 2010
rdcongo la guerre oubliée (II partie)
Deux chefs de milices en procès à La Haye. Mais sur le terrain rien n’a vraiment changé depuis 2003. Viols, enfants soldats, villageois massacrés, c’est toujours la population civile qui souffre le plus de ce conflit sans fin.
samedi, avril 17, 2010
mercredi, avril 07, 2010
les textes juridiques de la République démocratique du Congo, et les lois qui dictent la vie quotidienne, sont deux choses différentes.
Dans l'actuelle Constitution de la République démocratique du Congo, l'article 24 stipule: «Toute personne a droit à l'information. La liberté de la presse, la liberté d'information et de la diffusion par la radio et la télévision, la presse ou par tout autre moyen de communication est garanti dans le respect des réglementations nationales, les bonnes mœurs et les droits des tiers, (...)". La loi souligne par ailleurs la mission des radiodiffuseurs publics d'agir en tant que service public. En outre, la loi existe 96/002 du 22 Juin 1996, qui garantit non seulement la liberté d'expression mais aussi le pluralisme des médias et la liberté des entrepreneurs dans le secteur des médias. Comme cette loi vient de l'époque de la dictature de Mobutu, il a été soumis à l'examen devant le Parlement. En particulier, les points qui définissent les sanctions pour diffamation ou insulte autorités de l'Etat, ont été réécrits, et en ce qui concerne les sanctions sévères d'une infraction journalistique desserré.
L'image du paysage médiatique en RDC, doit être construit sur un cadre juridique solide. Les comportement des médias dans la vie quotidienne, est clair que la première impression est trompeuse, et entre les textes juridiques et la mise en pratique sont deux mondes.
les médias congolais ont le potentiel suffisant pour jouer un rôle actif dans l'élaboration de leur pays. La Constitution permet à la presse, la liberté d'information et de diffusion. Mais seulement après l'endiguement de la corruption et les menaces de violence contre la personne, les médias peuvent atteindre leur plein potentiel et de soutenir le processus de développement démocratique positive.
Jusque-là, cependant, Il y a encore beaucoup de changements nécessaires. Aucun média sera en mesure de remplir son rôle de responsable dans la société, aussi longtemps que les journalistes sont menacés, voire tués, tandis que les stations de radio seront exploitées par les politiciens locaux à des fins de propagande, aussi longtemps que les journalistes sont payés indigne et sans investissement dans la formation et de soutien des médias professionnels. Cela comprend: la nécessité pour les registres de licence d'exploitation de manière indépendante et les médias seront couverts pour les sanctions - une foule de tâches qui n'ont pas été réalisés jusqu'à ce jour sous la présidence de Joseph Kabila. Dans la perspective des élections en Juillet 2011, mais il semble que ce qui concerne le temps restant pour un changement dans le secteur des médias semble très mauvais. Si la condition ne s'améliore pas d'ici là - qui doit être - le paysage médiatique se poursuit par la corruption des élites politiques et leurs besoins personnels sera dominé. Sur la ligne est juste, le journalisme indépendant, qui, bien que garantis par la loi, mais - comme tant* la liberté d'expression* restera en RD Congo - jusqu'à nouvel ordre une illusion.
dimanche, avril 04, 2010
A tous les lecteurs de ce blog , je vous invite à signer cette pétition pour l'amour de notre pays la République Démocratique du Congo
dimanche, mars 28, 2010
The World Capital of Killing
vendredi, mai 23, 2008
Inculpation de Joseph Kabila à la CPI Cour Pénale Internationale
samedi, janvier 27, 2007
Antoine Gizenga ou le retour de Lumumba???