"la liberté d'expression est de rigueur dans le respect des lois" Ce blog traite essentiellement la situation politique, économique et sociale de la République Démocratique du Congo. Cet espace de discussion traite toute information d'une façon objective, offre la possibilité à ses lecteurs de déposer leur commentaire,de développer un projet ou un point de vue. "le savoir et la creation sont des ressources qui doivent demeurer libre"
dimanche, mars 23, 2014
jeudi, mars 20, 2014
Le 27 mars prochain, au Club de la presse à Paris, un collectif de journalistes militants de la diaspora congolaise entend alerter l’opinion sur les exactions commises à l’encontre de la presse en RDC (République démocratique du Congo). Les organisateurs annonceront à cette occasion le lancement d’un Observatoire de la liberté de la presse et contre l’impunité en Afrique. Roger Bongos est l’un des initiateurs de ce projet aux côtés des journalistes Freddy Mulongo et Lilo Miango. Il répond aux questions d’Afrik.com.
lundi, mars 10, 2014
Intense activité politique en RDC avec le positionnement et repositionnement des partis et de leurs leaders. L'Alliance des coalitions des centristes vient de voir le jour et se veut comme un regroupement politique pour défendre les valeurs morales et chrétiennes. Son ambition est de diriger le pays à l'issue de la présidentielle de 2016.
vendredi, février 07, 2014
Il n'y a pas de business plus lucratif, à Kinshasa, que les "Églises de réveil". Leurs guides vendent au prix fort leur bénédiction aux fidèles congolais... et leur influence aux hommes politiques. Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Églises évangéliques | RDC : pasteur, un job en or | Jeuneafrique.com
vendredi, janvier 24, 2014
Le sénat de la République démocratique du Congo est gravement illégitime. Les sénateurs ont été élus pour 5 ans c'est à dire de 2006 à fin du gouvernement "1+4=0" jusqu'au 28 novembre 2011 date des élections présidentielles et législatives. La deuxième raison est la plus simple: Léonbitch Kengo en tant que Président du Sénat a été candidat à l'élection de novembre 2011, où il a reçu une raclée. "Monsieur 4%" n'avait plus le droit de retrouver le perchoir du Sénat. Or l'invraisemblable s'est produit dans cette république bananière. Le célèbre édenté de la gare du Nord a retrouvé son perchoir du Sénat comme si de rien n'était. Aucun journaliste coupagiste, aucun média entarté Pprd n'a soulevé l'inconstitutionnalité de l'acte posé Léonbitch Kengo. Qui est ce Congolais qui est à mesure dire une loi qui a été voté par les sénateurs ? Personne ! Alors que l'est de la République démocratique du Congo avec ses multiples miliciens tutsi rwandais qui changent de noms chaque matin, le Congo vient d'envoyer 850 soldats à Bangui. Cette décision a-t-elle était discutée par les deux chambres du parlement congolais? Non !
Barack Obama aura été le Président américain de qui les Africains attendaient beaucoup, les Congolais en particulier. Mais à deux ans de la fin de son second mandat, il est parti pour quitter la Maison Blanche sans laisser la moindre « empreinte politique » sur le Continent africain. Rien à voir avec un de ses prédécesseurs, Bill Clinton, dont il sera question dans la suite de cette analyse. Les Congolais seront probablement le peuple le plus malheureux de l’après-Obama tellement le Président américain apparaissait, et apparait toujours, comme étant la seule personne disposant d’assez de pouvoir pour changer le destin tragique d’un peuple livré à lui-même. Interminables guerres de pillage, massacres des civils, viols de masse, déplacements forcés des populations, assassinats… Une extermination qui ne dit pas son nom, en marge de la ruée internationale sur les ressources minières du Continent noir.
mercredi, janvier 22, 2014
samedi, janvier 11, 2014
Une rumeur annonçant la mort du Président rwandais Paul Kagamé a provoqué des manifestations de joie dans plusieurs villes de la République Démocratique du Congo ce vendredi 10 janvier. Des centaines de manifestants en liesse se sont déversés dans les rues de Goma, Bukavu, Beni, Butembo,… pour célébrer la mort de l’homme qui symbolise les souffrances que subissent les populations de la région depuis deux décennies. Personne n'est encore en mesure de déterminer l'origine de la rumeur qui s’est propagée sur les réseaux sociaux comme une traînée de poudre. Surtout, personne ne sait s’il ne s’agit pas d’un « coup politique » dans une région où l’imagination en la matière est plutôt débordante.
vendredi, janvier 03, 2014
Le gouvernement congolais a démenti, jeudi soir, l'information selon laquelle l'aéroport militaire de Kinshasa aurait été attaqué par des hommes armés. À Lubumbashi et Kisangani des incidents impliquant des militaires ont également eu lieu. Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Armée congolaise | RDC : Kinshasa, Lubumbashi, Kisangani... série d'incidents impliquant des militaires |
mardi, décembre 17, 2013
mardi, décembre 10, 2013
A la demande des autorités congolaises, le programme relatif au séjour du « raïs » à Paris a été tenu secret jusqu’au bout. « Tuyauté » manifestement par les « services » belges, le ministère français de l’Intérieur s’attendait à un déferlement des « Combattants » dans la capitale française. Plusieurs activistes politiques congolais ont été interpellés par des « flics » de Manuel Valls. En évitant d’affronter les « combattants », le « raïs » a fait implicitement aveu de son impopularité. Un article de Direct.cd Lisez la version originale ici: Paris : Joseph Kabila esquive les « Combattants » | Direct.cd
««le monde vient de perdre son héros!», «la mort d'un géant!», « le plus influent des êtres humains!», « Un être à qui tout le monde voulait ressembler!», « L'homme qui a accéléré le cours du monde!», « L'homme du pardon nous a quittés!»...
Les hommages ne cessent de se multiplier depuis l'annonce de la disparition du premier président noir de la « nouvelle» Afrique du Sud, symbole de la lutte contre apartheid, Nelson MANDELA.
Le monde ne tarit pas d'éloges sur ce grand homme d'exception qui, malheureusement vient de s'éteindre, je suis quasi certain que même l'emploi du superlatif le plus absolu pour le qualifier ne serait que simple euphémisme compte tenu de son aura hors du commun.
Aux quatre coins du monde, l'émotion est à son comble, des larmes coulent à flots et les drapeaux sont en berne dans presque tous les pays et institutions internationales.
Mais alors, qu'est ce qui expliquerai ce déferlement d'hommages et d'amour sur cet homme? Pourquoi toute cette profonde reconnaissance ainsi que cette excessive admiration, frisant la vénération, pour l'illustre disparu? Pourquoi certains vont même jusqu'à lui vouer un quasi culte, le hissant au rang de «demi-dieu»?
La réponse certes, on la trouve dans son vécu ainsi que dans chacune de ses actions qui faisaient la mémoire collective planétaire.
En pardonnant à ses vils bourreaux, ceux-là même qui lui ont volé sa vie, qui l'ont injustement laissé moisir vingt-sept longues années en prison, et ce dans des conditions des plus dégradantes et inhumaines qui soient, Mandela n'a fait que montrer l'exemple, et les exemples au cours de sa vie, il les a montré dans tous les domaines. Et l'un de ces domaines reste la politique où il excella grâce à sa brillante intelligence et son extraordinaire sens politique.
En 1999, montrant l'exemple aux chefs d'États africains habitués à s'accrocher désespérément au pouvoir en dépit de leur incompétence, leur médiocrité et du ras le bol populaire, Nelson MANDELA se retire à la fin de son seul et unique mandat alors que rien ne l'y obligeait, surtout avec sa côte de popularité incommensurablement élevée, il pouvait aussi se résoudre à rester encore un peu plus longtemps au pouvoir sans doute à la très grande satisfaction de son peuple, mais non! Il a voulu donner une vraie leçon à ses pairs africains qui, par leur obsession presque pathologique à vouloir à tout prix finir leurs jours attachés au fauteuil du pouvoir, souvent se transforment en pires dictateurs et en intrépides destructeurs de leurs pays respectifs et du continent tout-entier, plongeant au passage des populations dans la misère la plus totale et un désarroi sans précédent.
Ces piètres dirigeants africains, rendus tristement célèbres par leur naïveté légendaire ainsi que leur allergie aux règles démocratiques, en dépit de leur médiocrité prouvée, sont si narcissiques et égocentriques que dans une toile représentant la Cène, ils se verraient carrément en Christ au milieu de ses douze disciples.
Actuellement réunis à Paris à l' occasion du sommet Franco-Africain, ( là aussi je me questionne sur son utilité et son efficacité) ils déferleront sur la place sud-africaine pour assister aux obsèques de Madiba, ils seraient important qu'ils essayent de mettre à profit ce déplacement pour méditer sur le précieux héritage légué par ce grand homme, il serait vraiment temps qu'ils prennent exemple sur lui.
Votre humble serviteur l'écrivain Germain DIMBENZI BAYEDI à dit: « Vivre, c'est comme écrire un livre. En rédigeant chaque page et en y insérant chaque mot, prenez garde à ce que ceux qui vous liront né regrettent pas de l'avoir fait et surtout qu'ils ne finissent par éprouver de la répulsion pour vous.»
Visiblement le Grand Madiba l'avait bien compris, voilà pourquoi aujourd'hui le monde entier lui rend un hommage hors du commun et le porte au panthéon des géants du XXème siècle; voilà pourquoi tous les drapeaux sont en berne; Voilà pourquoi tout le monde s'accorde à dire qu'il fut un être d'exception.
Et vous qui tenez actuellement les rênes du pouvoir dans notre continent, quand enfin le comprendriez-vous?
Germain DIMBENZI BAYEDI.
Auteur et journaliste indépendant.
jeudi, novembre 28, 2013
Inscription à :
Articles (Atom)