vendredi, décembre 10, 2010

RD Congo : Les dangereux de la République

Aucune personne bénéficiant du minimum de bon sens ne peut verser des larmes au sujet de la chute de la dictature corrompue jusqu’à la moelle épinière et, qui aura réduit tout un peuple à la mendicité. Est-ce affirmer par là que le changement intervenu au Congo-Kinshasa aura entraîné automatiquement des changements politiques dans l’agir politique ? P. Letamendia soutient que la chute d’un régime autoritaire ou totalitaire n’amène pas forcément à un nouveau régime démocratique. (P. Letamendia, paris, Dalloz : 1992).

Les élections de 2011 mettraient-elles les nerfs des profiteurs de la République à rude épreuve ? Quoi qu’il en soit, le banditisme d´État s’enchaîne au sommet du régime. L´examen des abus commis par un bon nombre de délinquants se réclamant de la « famille présidentielle » montre qu´un groupe de gangs, organisé en couche dominante spéciale, règne sur l´ensemble du peuple congolais. Les dangereux de la république – bande de jouisseurs – détiennent la réalité du pouvoir et constituent le cœur du régime tribalo-clanique en RD Congo. Les officiels du gouvernement et autres fonctionnaires étatiques ne sont à leurs yeux qu´un instrument rudimentaire et plus ou moins inopérant, nécessaire cependant à l´existence d´une dictature. En effet, ce qui distingue le système dictatorial congolais, c´est la subordination de l´administration publique à la famille biologique du raïs. La direction des affaires publiques est le fait du noyau dur du clan et tout lien avec le clan entraîne avec soi des privilèges.

1. Conditions réunies pour une défaite électorale des prédateurs au pouvoir au Congo-Kinshasa

Le dernier incident qui a opposé le frère de la haute hiérarchie nationale à des agents de la police routière que lui et ses gardes ont molesté, a prouvé à tous que le slogan de « Tolérance zéro » avec lequel le gouvernement congolais rabâche les oreilles de la population est une notion à géométrie variable. Mais tout ceci en réalité procède d’une même et simple logique : faire peur aux Congolais, leur montrer que le régime est plus que jamais un rouleau compresseur prêt à écraser quiconque oserait lever son petit doigt ou se mettre en travers de sa route. Et sur ce, il devient plus qu´une évidence que, les conditions objectives d’une défaite de Kabila à la présidentielle de 2011 seraient réunies. N´en déplaise aux chantres du kabilisme (pronostics du directeur général de « l´institut » sur le « sondage » les points : Soft International n° 1074 ). Douze-mois avant une élection présidentielle et dans les conditions actuelles de la dictature sanguinaire et d´abus du pouvoir en RD Congo, il est clair que les sondages annoncés par les points est une grande farce et une mauvaise blague, car le mandat de la haute hiérarchie se termine par un échec, y compris sur ses promesses faites pendant la campagne électorale de 2006. Sa « majorité » a été lézardée après l´université de la saison sèche du PPRD et cette « majorité » est plus désunie qu’il n’y paraît et enfin il y a un degré de violence, de colère de la part du pouvoir en place qui caractérise la fin d´un régime vomi.

2. Tolérance zéro à géométrie variable

Le déboire actuel au Congo Kinshasa était prévisible. Cependant, le peuple congolais – dribblé par son « élite » politique – ne l’a pas vu venir, car la soif de goûter à la liberté et à la démocratie était si intense qu’elle a aveuglé tout le monde. Et la grande désillusion des congolais est accentuée par le fait que les « vainqueurs » des élections de 2006 sont désormais des vampires de la république. Toutefois, un regard attentif autour du Congo dit démocratique démontre aisément que l’autocratie serait au bout du tunnel même si une certaine presse au service du pouvoir prétend que les « Congolais » – en réalité une dizaine de personnes représentant le Parec en Suisse – réclament un Prix Nobel en faveur de l´autorité morale de l´ONG Parec, le pasteur politicien Daniel Mulunda (Digital Congo : 30/10/2010). L´échec du régime de Kinshasa est si cuisant qu´on ne sait plus à quel saint se vouer. Tenez !

- 19 octobre 2010 : M. Zoe Kabila, frère du Président Joseph Kabila Kabange avait « ordonné des militaires mis à sa garde de battre deux agents de la Police de Circulation Routière (PCR) », M. Yandu et M. Mukoyo, en fonction au rond-point Socimat à Kintambo, boulevard du 30 juin, Kinshasa. Motif avancé : ces deux agents précités auraient changé la direction de priorité au moment où le « prince » de la république allait passer. (VSV, Communiqué de presse : octobre 2010) ;

- 30 juillet 2010, M. Ibrahim Kabila, frère du Président Joseph Kabila Kabange avait porté des coups contre des agents de l’Office des Douanes et Accises (OFIDA) du Katanga parmi lesquels le sous-directeur de Kasumbalesa. Il exigeait la libération de quatre véhicules importés sans qu’il ait payé les droits des douanes et autres taxes y afférent (Asadho, communiqué de presse : juillet 2010) ;

- 24 décembre 2008, M. Bébé Kibawa, frère du Président Joseph Kabila Kabange avait successivement violé avec violence, puis rendu grosse J.M. sa belle-sœur mineure de 16 ans (Asadho, communiqué de presse : décembre 2008) ;

- 16 octobre 2008, M. Bébé Kibawa, accompagné de 9 gorilles armés de la « Garde Républicaine », avait enlevé puis torturé son beau-père Lwamba Kabungo âgé de 62 ans et deux agents du parquet militaire assignés à la protection de madame Masala Kiluba victime des menaces de mort de la part de M. Kibawa. Les 3 infortunés furent entassés dans le coffre du véhicule, puis acheminés à la ferme de sa tante « Maman Kibawa » où ils furent torturés (Asadho, communiqué de presse : 2008) ;

- 10 septembre 2008, Bébé Kibawa en présence des militaires, avait donné des coups de poing et de genou à sa belle-mère Mme Masala Kiluba qui lui réclamait 30 dollars américains pour apurer les factures de l’Hôpital Flora où N.M. était internée pour soins intensifs (Asadho, communiqué de presse : 2008) ;

- 9 aout 2008, Bébé Kibawa avait brûlé les parties génitales de Madame N. M. l’une de ses femmes au motif qu’elle serait soupçonnée d’infidélité. (Asadho : 2008) ;

- 12 juin 2002, Mme Pétronie Kabila, tante paternelle du Président Joseph Kabila avait ordonné à ses gardes de torturer son travailleur M. Kabeya Kitenge qui en mourut, au motif qu’il serait soupçonné d’avoir volé des épis de maïs dans sa ferme sise Route Kafubu ;

- 15 juin 2002, Dieudonné Kabila alias Dydo, neveu du feu Président Laurent Désiré Kabila ordonna aux militaires agissant sous ses ordres d’arrêter arbitrairement de son domicile et le torturer physiquement M. Jules Dassin Ngandu Mwana Muyombi, Divisionnaire à la Cour d’Appel de Lubumbashi au motif que son fils nommé Alain Ngandu serait soupçonné dß avoir volé 2.900 dollars américains ;

- 29 juillet 2003, Madame Salvatrice Mataga, tante maternelle du Président Joseph Kabila Kabange, accompagnée de 10 militaires, avait fait arrêter et détenir illégalement M. Bony Lilitiyo, vérificateur à l’Office des Douanes et Accises (OFIDA) parce que ce dernier exigeait le paiement des droits des douanes requis a l’importation de 4 camions transportant des produits pétroliers.

Et pourtant, la Constitution congolaise ne reconnait des droits liés aux avantages de fonction qu’à l´individu élu Président de la République. Ces droits sont : le droit à l’escorte et le droit à la garde rapprochée. Il n´existe aucun droit reconnu à la famille dite présidentielle – frères, sœurs, beaux-frères, grands parents, oncles, tantes et cousins du président – dans les lois congolaises. La bourde de Zoé Kabila suscite beaucoup de questions notamment, pourquoi le frère du chef de l’Etat, qui n’occupe pas de position officielle, est il considéré et traité comme une personnalité importante ? Pourquoi la garde républicaine, sorte de corps d’élite affecté à la sécurité du président et des institutions, peut elle se permettre de rosser des agents de police, dont le seul tort était d’avoir tenté de maîtriser la circulation sur le boulevard du 30 juin ? Pourquoi les véhicules officiels, qui traversent la ville à toute vitesse, doivent ils obliger automobilistes et piétons à se ranger en hâte sur les bas côtés, au risque d’être bousculés ? Cette habitude rappelle étrangement les heures sombres du mobutisme, où les Hiboux de la IIème République et les « gorilles » de la Division spéciale présidentielle n’hésitaient pas à terroriser les paisibles citoyens et agissaient comme si les lois de la République ne s’adressaient pas à eux. Comment interpréter ces lignes, sinon comme une inquiétude face à des risques de dérive et de recours à la violence d´un régime pourri et vomi par la population ?

3. Empire de la Honte

En RD Congo, les officiels (ministres, députés nationaux, gouverneurs de province, etc.) exhibent leurs gorilles (gardes rapprochées) partout. Ça devient inquiétant de voir des escortes motorisées des citoyens d’une catégorie « spéciale » tout bousculer sur leur passage à longueur de journée, au mépris du Code de la route et de plusieurs dispositions constitutionnelles qui énoncent de principes tels que : « la personne humaine est sacrée » ou « tous les citoyens sont égaux devant la loi et ont droit à une égale protection des lois » ou encore « Les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits ». Malheureusement, en matière de protection individuelle, le Congo « démocratique » a reculé dans la préhistoire. Il y a d’un côté des citoyens qui se comportent, avec le concours de leurs gardes du corps, comme s’ils disposaient du droit de vie ou de mort sur les citoyens de seconde zone, destinés à être écrasés comme des cancrelats (Mende en Swahili) dès qu’ils se retrouvent volontairement ou non sur le chemin de dangereux de la République ; à être jetés dans des caniveaux en cas d’embouteillage ; à être roués des coups et humiliés lors des manifestations publiques, etc. Cerise sur le gâteau : une nouvelle race de policiers et militaires est née. Il s´agit de celle comprenant des hommes en uniforme et bénéficiant, en plus de leurs soldes, des primes consistantes qui les places au-dessus de leurs compagnons d’armes, qu’ils se mettent à considérer comme des laissés pour compte.

Franchement tout est pourri en RD Congo !

Par Dr & Habil, Prosper Nobirabo Musafiri

Lecturer and senior researcher at University

Le droit d'asile comme un pilier fondamental de la politique efficace de droits de l'homme: le HCR

Berlin - L'agence pour les réfugiés (HCR) estime que les violations des droits humains restent une cause majeure des déplacements forcés mondiale. L'institution de l'asile reste donc un «pilier fondamental de la politique efficace de droits de l'homme."

Pour l'international aujourd'hui la Journée des droits de l'homme a rejeté représentant du HCR pour l'Allemagne et l'Autriche Michael Lindenbauer à un nombre croissant dans le monde de la durée des conflits violents au long de l'. En Afghanistan , la Somalie, l'Irak et la République démocratique du Congo il n'ya pas de signes significatifs d'une stabilité durable et des solutions. D'autres conflits, dont on pensait qu'ils étaient déjà achevés ou sur le chemin de la paix sont au moins ouvert à nouveau. A titre d'exemple il a nommé le sud du Soudan et les récents événements en Côte-d'Ivoire.

Le représentant du HCR a souligné que bon nombre des demandeurs d'asile en Allemagne et en Europe provenaient de ces zones de conflit. N'est pas un hasard ont été l'Irak, en Afghanistan et en Somalie, les principaux pays d'origine des demandeurs d'asile en Europe.

Dans toutes ces zones de conflit sont la violence en général, mais aussi ciblée, systématique et des violations massives des droits sont monnaie courante, et a conduit à un besoin de protection internationale pour de nombreuses personnes qui ont fui, alors Lindenbauer. Ils étaient dirigés contre les minorités ethniques et ont été faites comme moyen de persécution politique. Évident que dans de nombreux États aussi une montée de l'intolérance religieuse, qui, trop souvent, dépassent le seuil de la violence et la persécution.

Celui-ci doit conclure: «Sans un bon fonctionnement des systèmes d'asile, il n'ya pas de protection efficace des droits de l'homme», a déclaré le représentant du HCR.

Lindenbauer lance donc un appel au gouvernement fédéral », dans le sens d'une politique effective de droits de l'homme à accorder une haute priorité à la protection des réfugiés». Sans l'Allemagne que le moteur est un moyen efficace, réalisable sur la qualité et l'harmonisation de solidarité plus larges de la politique européenne d'asile n'est pas.

Il a également appelé le gouvernement fédéral à participer à la coopération avec le HCR dans les programmes réguliers de la réinstallation des réfugiés les plus vulnérables du premier refuge États (réinstallation). Lindenbauer: «L'Allemagne a été un signe très positif avec l'inclusion de 2.500 réfugiés irakiens ensemble maintenant, c'est de donner à cette composante importante d'une politique active droits de l'homme est une fondation solide pour l'avenir .."

jeudi, décembre 09, 2010

Pétrole, gaz et minéraux pour financer les guerres et le régime corrompu.

Pendant 14 ans, la République démocratique du Congo s'enfonce dans la guerre civile. À ce jour, les rebelles tirer le meurtre et le pillage par les régions du pays. La demande croissante de matières premières dans le monde se nourrit de la mort: Les milices nécessité de financer par l'exploitation illégale des matières premières comme le coltan, qui a développé et pays en développement, par exemple, pour les réacteurs nucléaires et de l'électronique automobile.

Le gouvernement américain veut mettre un terme à l'instant présent. Largement inaperçu du public allemand, il a en été pour une loi adoptée dans le cadre de sa réforme financière. A partir de l'année prochaine, il va créer plus de transparence dans le commerce de marchandises: les entreprises américaines cotées doivent indiquer si elles utilisent des minéraux du conflit du Congo ou des pays de la région et exactement où ils viennent - une question compliquée, déplore l'industrie.

mercredi, décembre 08, 2010

République démocratique du Congo: les appels du cardinal Monsengwo pour la paix

L'archevêque de Kinshasa, le cardinal Laurent Monsengwo, a invité les parties belligérantes dans le pays d'Afrique orientale à déposer les armes. Dans sa première Eucharistie en tant que cardinal, l'archevêque a déclaré devant 80.000 fidèles pour la paix et la réconciliation. Le président de la République démocratique du Congo Joseph Kabila, était présent à la cérémonie. Laurent Monsengwo a été le consistoire de Benoît XVI à la mi-Novembre. Le cardinal a été attribué. Le pape avait appelé à faire usage de toutes façon juridiques nationaux et internationaux pour mettre fin à la guerre au Congo, a déclaré le cardinal.

Ressources conflits

Le coltan, le tantale est dérivée de la est l'une des principales exportations de la République démocratique du Congo. Comme très prisés dans l'industrie électrique et est exporté de la République de cuivre.Depuis la fin des années 90, il ya toujours des militaires des conflits violents au cours des riches régions ressources.

Avec plus de pays en Afrique , où les conflits souvent parce que des matières premières il comprendra, entre autres, le Nigeria (pétrole), Soudan (pétrole) et Côte-d'Ivoire (diamants). Les causes de la guerre sont complexes, mais la mise à niveau des parties est souvent fait avec la vente de matières premières.Par conséquent, ils sont une dure trop bien.

Ce n'est que depuis l'an 2000 est disponible avec le Processus de Kimberley, le premier système de certification pour les diamants de comprendre pour faire le commerce.certificats supplémentaires seront développés, il peut se lancer sur l'attente.

mardi, décembre 07, 2010

Tshisekedi est de retour

a politique du Congo est mis en mouvement. Le chef historique le plus célèbre de l'opposition dans le pays, un vétéran de la lutte pour la démocratie, est prêt après des années d'exil à rentrer chez eux avant: Etienne Tshisekedi, président du parti Congo la plus ancienne opposition UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) sera le 1 erDécembre ou peu de temps après l'atterrissage à Kinshasa.

Venant de Belgique, est de faire de Tshisekedi premier arrêt en Afrique du Sud et de là, vols à destination de Kinshasa, afin que lui, contrairement aux vols Bruxelles-Kinshasa (arrivée tard dans la nuit) se retrouve dans la matinée et ensuite peut être reçu digne d'une foule immense. Tous les espoirs de Kinshasa, l'UDPS, va encourager le retour du combattant de la liberté historique. Le boulevard Lumumba Njili de l'aéroport au centre-ville doit être au moins aussi complète que sur cette 27e Juillet 2006, lorsque à l'époque leader de l'opposition Jean-Pierre Bemba dans la phase finale de la campagne au Congo les premières élections libres du pays sans littoral à Kinshasa de retour et célébré par des dizaines de milliers de gauche.

Prenant cette comparaison, il est une entreprise risquée. célébration du jubilé de Jean-Pierre Bemba a dégénéré en violence, Bemba lui-même se trouve aujourd'hui à La Haye à la Cour pénale internationale en détention, le régime de Kabila au Congo sait peu de scrupules et sans pitié quand il s'agit de garder les petits challenger.

Les temps pour les challengers au Congo, mais aujourd'hui est meilleure que jamais. L'opposition parlementaire n'est pas contrôlée depuis l'arrestation de Bemba 2008e L'opposition militaire a été l'arrestation du chef rebelle Laurent Nkunda 2009 impuissants. Dans presque exactement un an, est à la prochaine élection présidentielle. Loin, aucun candidat d'opposition sérieuse à Kabila en vue. Divers position politiciens eux-mêmes déjà, et nous espérons une une opposition fragmentée et faible autour d'eux pour éviter de choisir peut-être faire plus excitant. Ils espèrent également accorder à la communauté internationale, qui en 2006 avait mis fortement sur Joseph Kabila et maintenant déçus par Kabila difficile, car il a obtenu beaucoup moins que prévu pour le pays.Dans les capitales occidentales à des adversaires de Kabila reçoivent actuellement très favorable et il les écoute attentivement que jamais depuis 2006 à maintenant, il était principalement de 2009 à la retraite le président du Parlement de l'état civil Kamerhe, qui a été créé comme un possible "challenger" Kabila;. Tshisekedi, il veut maintenant le spectacle voler.

L'UDPS, particulièrement forte dans les provinces du Kasaï et de pièces de Kinshasa, se considère comme la grande force démocratique dans le pays et comme un grand perdant dans les guerres depuis 1996. Dans les années 1990, elle a été le fer de lance du mouvement pour la démocratie contre le dictateur Mobutu. Leur chef était Tshisekedi plusieurs fois Premier ministre et son bureau n'a jamais été vraiment en jeu parce que Mobutu son autorité parallèle et financière appareils anwarf à préserver le pouvoir. Pendant des semaines, Tshisekedi était encore dans la rue dans son quartier de Limete et a dit qu'il était le gouvernement. À ce jour, la forteresse est Limete le plus intransigeant partisans de l'UDPS et de leur «parlement de la rue» (debout parlement) est devenue une organisation de base. Lorsque Mobutu a été renversé par l'armée rebelle, Kabila 1996-97, il y avait militants de l'UDPS à base qui ont organisé le transfert pacifique de nombreuses villes sur les rebelles, dans l'espoir qu'ils allaient apporter la liberté et la démocratie. L'espoir a été écrasé, noyé dans la guerre au Congo, l'opposition civile démocratique a été invisible.

Mais quand la guerre s'est terminée et a organisé des élections libres sous supervision internationale en 2006, fait l'UDPS un problème historique: d'abord boycotté le registre électoral et les élections, et quand elle se ravisa, il était trop tard. Non seulement la plus grande force de l'opposition civile non avant le scrutin. Votre Sympathisaten qui avaient été assez stupides pour ne pas se faire enregistrer comme électeurs ne pouvaient même pas autorisés à voter. Si ils peuvent choisir et si elles avaient voté contre Joseph Kabila de l'élection présidentielle n'aurait pas gagné. Lors de cette erreur historique, l'UDPS est presque rompu. Il ya eu d'innombrables divisions et les luttes de pouvoir, Tshisekedi lui-même était à peine visible depuis des années.

Maintenant, il veut connaître le "Sphinx de Limete», comme Tshisekedi est souvent appelé, une fois de plus. Sur le retour triomphal attendue, l'UDPS-partie sur la suite à Kinshasa, où l'ancien parti veut se positionner comme une nouvelle force démocratique et un leader naturel de l'opposition à Kabila. Si cela réussit, les différentes personnes étant mis sous pression pour conclure une alliance électorale.

Il reste à voir si tous le gouvernement congolais est à regarder passivement. vraiment les masses se précipitent pour Tshisekedi quand il pénètre dans le sol congolais? Si son parti peut travailler à vraiment gratuit? Comme si souvent dans l'histoire, l'UDPS est un coup de main comme un centre naturel de la résistance et l'autre main il a le mal que l'autorité, ils doivent accorder un congé de cours. S'ils ne veulent pas faire, et il a toujours été utilisé, c'est juste martyrs de la démocratie.Mais le Congo a produit ces dernières années trop levier de nombreux martyrs et trop peu. Aujourd'hui, la construction d'une alternative démocratique au Congo ne peut pas être simplement de chauffeur à un nom connu comme un personnage historique à travers les rues. L'UDPS aussi sûr. Il doit, cependant, n'a pas encore prouvé, en particulier la jeune génération des Congolais elle ne connaît que par ouï-dire. Ils ont fait valoir un droit quasi-historique de leadership d'opinion, mais cela ne suffit pas.

Quel que soit du 1 er Décembre arrive: qui commencent des moments passionnants. Le calme plat s'étaient installés sur la politique officielle du Congo est de mettre progressivement un terme. Il est grand temps.

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