vendredi, janvier 16, 2015

Assassinat de M’Zée Laurent Désiré KABILA : 14 ans de procès inachevé........Le Président congolais est abattu, dans les circonstances non encore éclaircies, en ce début d’après-midi du 16 janvier 2001, soit 14 ans jour pour jour, dans sa résidence, le palais de marbre, à Kinshasa. Selon la version officielle, Laurent Désiré Kabila a été assassiné par Rachidi, son garde du corps, qui est abattu sur place quelques instants plus tard par l’aide de camp Eddy Kapend. Mais l’assassinat de M’zée Kabila reste une énigme criminelle. La mort du président a entrainé l’arrestation et la détention de plusieurs personnes dont certaines sont mortes en prison alors que les autres y sont encore. Ils ont été condamnés au terme d’un procès expéditif, alors que de nombreux officiels reconnaissent ouvertement qu’ils sont innocents. Jusqu’à quand prendra fin, la folie du tyran sanguinaire, Hyppolite Kanambe, alias Joseph Kabila, le président actuel pendant que de nombreuses personnes innocentes sont sacrifiées et continuent en toute indifférence de croupir dans des conditions inhumaines et dégradantes dans la prison mouroir de Makala.

La Voix des sans voix (VSV) et l’Association africaine de défense des droits de l’homme (Asadho) demandent au gouvernement de mettre en œuvre les recommandations de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples sur l’assassinat de Laurent-Désiré Kabila. Ces associations ont lancé cet appel à l’occasion du 14e anniversaire de la mort de cet ancien président de la RDC, assassiné par l’un de ses gardes du corps le 16 janvier 2001 à Kinshasa.


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<strong>Mausolée Laurent Désiré Kabila. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo</strong>
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lundi, janvier 12, 2015

De 2001 à nos jours, la crise politique n’a jamais cessé d’hypothéquer l’avenir du peuple congolais et, de surcroît, le devenir de la République Démocratique du Congo. Les conséquences de cette situation chronique se sont matérialisées dans l’affaiblissement, voire dans l’illégitimité, des institutions de la République et dans l’absence flagrante de l’Etat, voire dans sa non-présence dans tout le territoire national. Peut-on conclure, pour autant, que la situation en cours dans ce riche et immense pays relève de la fatalité ? Il semble que les réponses à cette question résident plutôt dans la capacité des acteurs politiques et la société civile à trouver des solutions en vue de la cohésion nationale. Celle-ci ne pourra s’obtenir que grâce au bien-fondé des actions par rapport aux problématiques de l’incessibilité de la nationalité congolaise d’origine, au droit de vote et d’éligibilité des Congolais de l’étranger, à l’égalité des Congolaises et des Congolais dans la représentativité politique et dans la gestion de la chose publique, à l’organisation des élections transparentes et justes, au respect des droits fondamentaux de la personne humaine, à l’évolution sociale et au progrès économique, à l’avènement de la démocratie…

Quelques 300 manifestants qui se sont rassemblés lundi à Kinshasa pour protester contre un projet de loi électoral ont été dispersés par la police.

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