dimanche, mars 28, 2010

The World Capital of Killing

7 février 2010
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Chroniqueur Op-Ed La capitale mondiale des Massacres Par Nicholas D. Kristof BUKAVU, Congo Il est facile de se demander comment les dirigeants du monde, des journalistes, des personnalités religieuses et des citoyens ordinaires détourné les yeux tandis que six millions de Juifs ont été tués dans l'Holocauste. Et c'est encore plus facile de supposer que nous ferions mieux. Mais jusqu'à présent, la guerre brutale ici dans l'Est du Congo n'a pas seulement duré plus longtemps que l'Holocauste, mais semble aussi avoir fait plus de victimes. Une revue d'experts mis morts de la guerre du Congo à 5,4 millions en avril 2007 et la hausse à 45.000 par mois.Cela laisserait au total aujourd'hui, après une douzaine d'années, à 6,9 millions. Ce que ces chiffres ne tiennent pas compte est le moyen le Congo est devenu la capitale mondiale du viol, de torture et de mutilations, de manière à saisir les survivants comme Jeanne Mukuninwa, une belle femme gaie jeunes de 19 ans qui rassemble en quelque sorte le courage de rire. Ses parents ont disparu dans les combats, quand elle venait d'avoir 14 ans - peut-être qu'ils ont été massacrés, mais leur corps n'a pas été inquiété - si elle a emménagé avec son oncle. Quelques mois plus tard, les milices extrémistes hutues ont envahi la maison. Elle se souvient que c'était le jour de sa période menstruelle première - la seule qu'elle ait jamais eu. "D'abord, ils ont ligoté mon oncle, dit Jeanne. "Ils lui ont coupé les mains, les yeux crevés, coupé ses pieds, lui couper les organes sexuels, et l'a laissé comme ça. Il était encore vivant. "Sa femme et son fils étaient également là. Puis ils ont pris chacun d'entre nous dans la forêt. "Que la milice est connue pour les enlèvements et les asservir pendant des mois, voire des années. Les hommes sont transformés en porteurs, et les filles en esclaves sexuels. Jeanne et les autres filles étaient régulièrement lié à étalement de l'aigle et violée, et bientôt elle devint enceinte. Les viols ont continué, parfois avec des bâtons qui ont déchiré ses entrailles et à gauche perd son dribble en permanence. D'une certaine manière le foetus a survécu, mais son bassin est trop immature pour accoucher. L'une des personnes de la milice avait enlevé un médecin qui a été contraint de traiter les soldats. Le médecin, voyant que Jeanne a été le point de mourir en couches obstruée, couper son ouverture avec un vieux couteau, sans anesthésie, et a retiré le bébé mort-né. Jeanne était en délire et presque mort, alors la milice son sous-évaluées à côté d'une route. "Elle a été complètement détruit l'intérieur", a déclaré un autre médecin, Denis Mukwege, qui a sauvé sa vie après avoir été amené ici à Bukavu. Le Dr Mukwege, 54 ans, préside le 400-lits d'hôpital de Panzi, soutenu par l'Union européenne et des groupes privés comme la Fondation fistule. Il est parfois mentionné comme un candidat pour le Prix Nobel de la Paix pour ses efforts héroïques pour lutter contre la guerre et de panser ses victimes. Le Dr Mukwege exploités sur Jeanne neuf fois sur trois ans pour réparer les fistules qui étaient à son origine aux déchets fuite. Enfin, il a réussi, et elle est retournée dans son village pour vivre avec sa grand-mère. "Il m'a dit de rester à l'écart des hommes pendant trois mois», se souvient Jeanne, pour lui donner corps le temps de guérir. Mais trois jours après son retour au village, la milice est venue à nouveau et violée à nouveau. La fistule rouvert. Jeanne, maintenu nu dans la forêt et puant parce que ses blessures internes avaient rouvert, a finalement réussi à s'échapper et a finalement trouvé le chemin du retour à l'hôpital Panzi. Le Dr Mukwege a déjà commencé une deuxième série d'interventions chirurgicales sur elle, mais il est un tissu si peu que ce n'est pas clair qu'elle ne pourra jamais être à nouveau continent. Environ 12 pour cent des femmes violées il traite ont contracté la syphilis, et 6 pour cent sont atteints du VIH Il fait ce qu'il peut pour réparer leurs blessures et de les aider à guérir - jusqu'à la prochaine fois. «Parfois, je ne sais pas ce que je fais ici", a déclaré le Dr Mukwege désespoir. "Il n'ya pas de solution médicale." La nécessité absolue, dit-il, n'est pas de l'aide humanitaire de plus pour le Congo, mais d'un effort beaucoup plus vigoureux internationale pour mettre fin à la guerre elle-même. Cela signifie mettre la pression sur le Rwanda voisin, un pays si largement admiré pour sa bonne gouvernance à la maison qu'elle tend à obtenir un laissez-passer pour son rôle éventuel dans les crimes de guerre à côté. Nous devons également pression sur le président congolais, Joseph Kabila, à l'arrestation le général Jean Bosco Ntaganda, recherché par la Cour pénale internationale pour crimes de guerre. Et, tel que recommandé par un organisme de défense appelé le projet Enough, nous avons besoin d'un effort États-Unis négocié pour contrôler le commerce des minéraux du Congo afin que les seigneurs de la guerre ne peut plus acheter des armes par l'exportation de l'or, l'étain ou le coltan. Sauf que nous voyons ici un certain leadership, les combats au Congo - alimentée par les profits des exportations de minéraux - se poursuivra indéfiniment. Donc, si nous n'agissons pas maintenant, quand allons-nous? Lorsque le nombre atteint 10 millions de morts? Lorsque Jeanne est enlevée et violée une troisième fois?

vendredi, mai 23, 2008

Inculpation de Joseph Kabila à la CPI Cour Pénale Internationale

Jesn-Msrie FLAGOTHIER Avocat Tel : 02-478.07.22 G.S.M:0486-96.89.03 Fa-v: 02-478.68.20 CCP : 000-0795755-64 C.P: 630-0216913-80 1020 Brrcrelles av.J eanS obiesk6i 6 mesr df..'C .C.O. vos rdf. 11 AIDE Cour Pénale Internationale United esi nformationestd esd l6mendtse p reuve Bureaud u Procureur B.P.1 9519 2500 CM, La Haye Pavs -Bas Bruxellesle, 20m ars2 008 Messieurs, .I'ai l'honneurd 'intervenirc ommec onseild e l' AssociationH umanitaire1 1A IDE . Assistance Interactivep ourl a D6mocratiee t l'Education, dontl e sidges ociale str outed e la Conddmine3,4 A CH - 1475 Forel commune de Vernay, Suisse. Celle-cim e mandatep our ddposeru nep lainted ontv ous trouveraiI 'original en annexea insiq ue lesd ocumentsc onnexes. L'Associationm e signaleq u'elle disposed u nom des plaignantse t du rddacteurd u texte manuscritq ui lui estp arvemp. Celle-cis ouhaitec ependanqtl len e soitc ommuniquda ucunn omp ourd esr aisonsd es dcuritdta nt que des mesuresd e sauvegarden 'auront pas dtd envisagdese t risesp our les tdmoinso u ddpositaire.s Ces personnesrd sidentt oujourse n R.D.C, certainess ont en detentiond, 'autreso ccupendt es fonctions politiques et militaires. Je rested votred isposition. Veuilleza grderM, essieursI,' expressiodne ma hautec onsiddration. Jean-MarieF LAGOTHIER. PLAINTE A LA COUR PENALE INTERNATIONALE L'Association humanitaire pour les l l Provincesd e la RDC - AssistanceI nteractive pour la D6mocratie et I'Education Routed e la Cond6mine3, 4 d CH- 1475F orelc ommuned e Vernay.S uisse Entendp orler plaintea uprdsd e la Cour p6nalei nternationaled charged e MonsieurH ypolite KANAMBE" aliasJ osephK ABILA, prdsidendt e la RdpubliqueD dmocratiqued u Congo du chef de violation aux articles 6,7 et 8 du Statut de Rome de la Cour p6nale internationale pour crimec ontreI 'humanit6,c rimed e guene,c rimed 'agression. De manidren on exhaustivel,e s faits rapporldsp ar dest dmoinsd irects,d esv ictimes.d es parents se d6crivent et se rdsume comme suit : C C.O. ( COMITE DES COORDINATIONS DES OPERATIONS I . I Op6ration Libumu Ohini ( ventre par terre) Cr6e par les forces d'intervention spdciale FIS dont le sidge et le commandement fonctionnaienta u camp KOKOLO dansI 'enceinted e I'Etat major Forcet errestre,q ue commandaijta dis KANAMBE Hypolite dit Joseph. I. 1.2. Obiectif de I'op6ration L'operationL IBUMU (vented m0mel e sol) , visaitt ousl esm ilitairesq ui avaients ouscrita u changemendtu rdgimeL DC. De ce fait de 4 aofit 1998a u 5 avril 1999,b eaucoupd e massacreosn t dtdc ommiss ousI 'ordred u patrond e C.C.O.L.d e coordinationd eso pdrations en la personned u gdndralm ajor KABANGE Hypolite dit Joseph. Les personnesv ictimes furent : Le 09/08/1998d 13h.00s ur le petitp ort appeldp ort BARAMOTO cesp ersonneos nt dtd execut6es! l- PhilemonD UNIA 2- GERE NDIA Germain 3- MASIDI Gervais 4- JeannetteO DIA 5- Giselle MATONDO 6- GeorgeNs GOY 7- KABENGELE TohiteKu 8- Serge BOLIANGO 9- BASILE Simon ingdnieur 10- Didier NDENGALO 11- Yves MUDIANTU 1.2. DANS LE BAS CONGO A. KIMPESE La nuit du dimanchea u lundi du 23 au24 aofit 1998: sousl 'ordre du commandandt u C.C.O. au cours d'une communication par phonie. il a dtd ddcide dans la langue Sawihili comme pour dire de semert outesl es srainesd ont : lo Marcellin KIMBUYA sersent 2o JosephK ANGA 3" MARIE JOSE 4o Frans TAKA 5" JEAN RENE 6" ATENDE VILA 7'MARTIN LEO 8'KANJE Donat Aia : Le commandant qui conduisait le peloton d'ex6cution fut Monsieur ARMANDO un tigre d'Angola. A. MOONDA Suro rdred u commandandt u C.C.O.t ousl esj eunesg argonsd e la ville qui avaients outenu 1'actionr dvolutionnaired u CommandantK ABENGELE devaient6 tree x6cut6.p lusieurs cadresp olitico- militairesd e I'A.F.D.L. furente xdcutdsd ansl a nuit du jeudi 10 septembrea u vendredi1 l septembre1 998. Toutefoisu n haut cadred e la SOZIR en la personned e RUIGEMA fut egalemente xecute.L e chefd e pelotond 'exdcutionle Commandandt e policeM ONGHY. 3. A SONGOLOLO La premidreq uinzained u mois d'octobred e 19981 3 (treize) personneos nt dt6e xdcutdepsa r le gendral Jean Leon MOBILA. B. INKISI La nuit du27 au 28 aofit 1998,9 (neuf) personnesfu rent executeess ur ordre du Commandant de C.C.O. parmi elle figurent : 1'LUGURU Denis( cadreA FDL) 2' BAGADA Junior (changeur des monais arrdtds depuis Matete d Kin) 3o Eric KYSLAMPALILWA (militaire) 4" NURU David (militaire) 5o Gorette PANZU (commerqante) 6o Godefroid MLINYOLOLO (agent de sdcurite) 7o Bula NZITA (dtudiant) 8" NSIMBA LIJZOLO Jean (infirmier) Le chefd e pelotond 'executionJ eanL 6on MAGILA C.MBANZA NGUNGU 22 personneso nt trouvd la mort sur ordre du Commandantd u C.C.O. , motif signale: Trahisone t adhdsiond la r6bellionl e plus connuc 'est le Col. Artilleur TONDELE qui fut ex6cut6 apres plusieurs tortures et dont le corps fut mutild. D.LIJOZI Sur ordre du Commandantd u C.C.O. le commandanAt MURI a ex6cut61 4 personnesto utes militaires avecl eur chef le CommandanIt( ASENIO PIE Leon dansl a nuit du 13 a:u74 octobre 1998. E.A. KASANGULU Toutesp ersonnesq ui n'avait pasd e carted 'identite et qui n'6tait pas connued evait€ tre executeeI.l s'est6 leveu n nombreq ui depasse 140p ersonnes. A. Kinshasa Fin octobre1 98,e xdcutiond u Major MBUMB Jean,l es prochesc ollaborateursd u commandant de C.C.O. (le patriote MAI - MAI : Z,\BTJLON et MUSHAKI - executiond e 34 congolaisa ccusdsd e nationalit6r uandaise - d6butn ovembree x6cutiond e 7 femmesa ccusdesd 'avoir gardedl es rebelles. Ddbut ddcembre Exdcutiond e 23 jeuness oldatsK ivutiens qui protestaienct ontrel a fusilladed e leurs frdrese t scurs ex6cut6sd ansl es lots de ceux assimildsd la nationalit6R uandaise. II.OPERATION ARMAGUEDON L'opdrationL ibumenc himi , ayantt erminds am issiond e nettoyagel,e C.C.O.a engendre I'operationA RMAGUEDON dansl e but d'affronter toutesl es contradictionsp oliticomilitaire, deux axes seront mis en compte : 1- Kinshsa-Brazzale, fleuve.. .. 2-Nord Katanga - Sud- Katanga II.l. KINSHASA - BRAZZA.Ie fleuve..... Les crimesc ommis sont innombrablesc ar toute personneq ui quittait Brazzavillep our Kinshasa dtaient taxde de connivence avec I'ennemi et de ce fait. il devait €tre exdcutd. II.1.2. LES EXECUTIONS Avril 1999e x6cutiond e 11 personneds dtenuesa u G.E.M.p ar la G.S.S.Pl.a nuit du 7 au 8 ao0t 1999p ar EtienneK APUKA prochec ollaborateurd e Hypolite KABENGE. A)Kinshasa Tousl es samedist,o utesp ersonneas mdteeest incarcdrdeasu GLM KIN MAZIERE, l6gion PIR DEMIAP. ANR. devaient0 tre achemindesv ers Kibomangop our €tre ex6cute. A.1. Cachot de GLM 147p ersonneso nt dte ex6cuteesp endantc ettep 6riodea llant de avril 7999a u27 avrrl2000. Toutesc esp ersonnefsu rentd esa nciensD SP (Divisions pdcialep residentielled)e feu presidenMt OBUTU. Trois personneds irigeaienlte s exdcutions: ComdtB OMPENGO, MBANGO " Cdt KAPIA. A.2 Cachot de I'IPK (Inspectionp rovincialed e Kinshasas idged e la ldgionP IR) 94 personnesfu rent exdcuteesir Kibomangod ansu ne fossec ommune.A ddle BILONDA femme commergantee t son mari, un sujeto ues-africainf,u rent ex6cutdsd errierel e bdtiment GLM sousp rdtexted 'avoir dtda ttrapdp ossddandt ess ommes6 levdesd e dollarsU .S. A.3. Cachot de Kim - Maziire Cettem aisond e rdpressiona le plus versdl e sangd esc ongolaisd urantl a pdriodea llant de avril 1999d avril 2000,c haquejourd esp ersonneds evaien6t tres outurdeds e leursc ellules pour les transfdrera illeurse t ellesn e sontj amais vuesn i retrouvdese t m€mep asd e tracest el fut le cas de : lo Kalumire BAYARD 2" Yvonne FEZA 3'MBIEVANGA Sdbastien 4" NGIMBI TALU Jules 5o Piene FUTA YOBO 6" MATONDO KUVULA Therdse A.4 Cachot de la DEMIAR / KINTAMBO Toutesp ersonnesm ilitaires qui dtaients oupgonneedse mdchesa vect oute oppositiont ant civile que militaire devaient 6tre logde dans le wagon (bien r6serv6) pour ceux qui ne doivent plus vivre. D'aborde n raisond esc onditionstr dsd 6plorablees t inhumaines, ensuited e la proximitda vec les microbes de tous genres . Durant le temps du Colonel MUTIMBI . alors commandant de la DEMIAR interieur,c haquen uit" il devait rendrec ompte au commandant. C.C.O.des personnesq ui devaientp ass6es. Beaucoup de gens perdaient leur vie d cause de la torture, la privation de la nourriture, soif et autress adismes emblables.. .. A.5 Cachot A.N.R. (agence nationale de renseignements) Situees urI 'avenued u 37 au bord du fleuveC ongo,p endantc ettep 6rioded e I'op6ration Armaguedon,e lle andtait tous les suspectsl,e s auditionnaienet t apresl es avoirs soutiresl es aveux (qui ne sont qu'aveux de faiblesse)l.e s transfdrerd la COM (Cour Ordre Militaire) et ce avecd esa nnotationsin diquantl eur peine. Commee lle avait (ANR) desa gentsd ansc haquesf ronts,t ous les militaires,p ersonnes civiles. soupgonneds e trahisone t connivencea vecI 'ennemi devait 6tre achemindp ar les agentsd e l'ANR jusqu'irK in. ,{.6 Prison de Kasap (Katanea) 65 personnesp endantc ettep driodes ont consommdesp ar desb Otess auvagess ur ordre du - g6neral NUENBI alors commandant de rdgion. Tel fut le cas de : I ) KASANGANZO Jean-Paul 2) KULANGULUKA Pascal 3) MITIMA MUKAMUSONI FranQoise 4) John KAPITA 5) Piene MWANZA 6) NZITEME Jacques 7) MALU MALU Paulin 8) Guillaume MUTELWA 9) ONYANCONDE Sdverin I 0) Sylvain VUBU-MAMPUYA I l) MAMBARCILE Niclette l2) ISSALOLO MAYAKTDT 13) Cmdt Bob DJAMBA 14)V ILA IDI KASHU avecs ong arQond e 7 ans. T'outesc esp ersonnes6 taientd i.i;., sur la route de Likasi et deux rescapdso nt rendu tdmoignagec urieusemenet lles seronta rrOteees t exdcutdesir Kimbembep ar le commandant L6on. A.7 Prison de Buluwo (Katantga) La pluparl des gensq ue le CCO y affectaitl '6tait avecd esc onsignesp articulidres: Ne pas les faire connaitre enregistrd* pour que les jours suivants elles soient consommdes (tuds) A.8 A MBANKAKA Sur le fleuve Beaucoup de gens ont 6t6 tuds sous cette op6ration car, le Commandant C.C.O. le Gdneral Major visait d nettoyer tous les fronts en vidant tous les kadogos qui maitrisaient ses intrigues. Les ex6cutionss ommairess ontm ultiples et innombrables. Plusieursc ommandantse x faz ont perdu leur vie d cause de l'honneur du commandant C.C.O. , moindre defaite sur terrain tous les kadogosq ui r6pliqudrente taientc ondamndsp our fauted evantI 'ennemi et la COM (Cour d'Ordre Militaire chapolaitp ar le colonelA LAMBA ddbarquaite t exdcutaitt ous les fuyards quelle que pouvait €tre le nombre. III. OPERATION VAUTOUR Cette opdration visait d nettoyer tous les temoins gdnants ainsi que toute adversitd qui pouvait s'dlevera u milieu de la populationt rouvantl es ambitionsd u gendraml ajor croissantesc,e dernierc ommencerad montrer aux gensq u'il ne peut avoir piti6 de personneC. 'est dansc e cadrep our servird 'exempleq u'il va ar€ter 5 (cinq)c hdvresq ui broutaienst url a peloused u devantd e son bureau,c esc hdvress eronta rrOtdees t enfermdesp endantd eux mois puis transfdrdesd la prison centraled e Makala . Toutefoisd euxd e cesc hevresa tteintesd e cdcitep our avoirp assdp lusieursjo urs sansm anger ni voir le soleil. Quelle cruaut6 ? Le pr6sidentd u Congod 6mocratiquee stu n mauvaisg dnie, qui ne trouve plaisir dansl e sang et il n'a de respecpt our la vie de personneV. oici commenti l a organisde t semdl a desolation d travers tous le pays. 10 A Kinshasa Elimination de KADOGO Mazi Maj. Dans le camp Kokolo, vers le mois d'octobre . une rafle a eu lieu , touchantd la disparitiond 'au moins5 0soldatsq ui etaiente xtraitsp ar le major Eric LENGA (capitained 1'6poque.) L'an 2000M ois de novembrec aptured u commandanMt ASASA Enselmea vecc1 9 kadogo et deux femmes ont dt6 conduit d Lumbubashi et de Lumbubashi ir Pueto ou ils furent exdcut6ss ansp rocdss ur ordre du g6ndralm ajor commandantf orce tenestree t chef supr€me du C.C.O. (Hypolite) Janvier 2001 Execution de 10 libanais d Kibomango dans une fosse commune par Le cdt BOMPENGO Sylva et Kapia la nuit du 17 au i 8 janvier Le 20 janvier mort par coup de fouet de papa Kincela d GLM. Le l6 janvier d 20h00s url e fleuve, ex6cutiond e Gere,B ourrotiN BBAKA Sorro,B dbekai, Bienvenu et 13 congolais de Brazzavrlle sur la route de Kifurshi (Lumbubashi) Exdcutiond e deuxs uda fricainse t deuxc onsolaiss ur 1a... Janvier 2007 le 6 ianvier Cesp ersonneso nt etd ex6cutdess ur ordre de Joseph: I' LINGALO ALTINGA 2'MWAKO Aimd 3' VLII{DA VUSADIDI 4" STJZE MATANGU 5' DIA MBU Simon 6" MADIATA Saswana 7" BOKELE BONGO 8" MBUYI MUKEBA 9'NDOGO Elly IO'KASONGO SADU I I' MABIALA PASI 12'KABAMGA ORDY 13'KILANGA MACK 14'KINDEKE 15'MABILA Le colonelA lamba lui-mdmee stv enu les soustraired e la prison pour les passeri r l'exdcution au camp Kibonnago. -Aoirt 2002 Emprisonnemendt u lt KILAY (garder approchdd e LOK) -Juillet 2003 Emprisonnemendt e JeanC alvin Kandolo. -Ddcembre2 004 emprisonnemendte Nico Bavuka -Seotembre2 005 emprisonnemendt u gen6ralM abila Jean -.Iuillet2 003 assassinadte SteveN YEMBO par Alamba sur ordre de Hypolite KABENGE president du Congo ddmocratique -Assassinadt u sujetb elge (x) sur Av Dr Shamba2 007 par desc ommandosd e la garde rapproch6ed u chefde I'dtat. -Assassinadt 'un prOtre( x) sujetb elgep ar un soldatd e la garder approch6ed u chef de l'6tat. Plusieurse mpoisonnementosn t 6t6 declarea u sommetd e l'6tat, telle fut la plaintee xprimee par I'ancienv ice prdsidenZt 'AHIDI NGOMA Les temoins, victimes encore en vie ou parents de victime, continuant dr r6sider sur place ne peuvent se manifester directement sans que des mesures de s6curite ne soient prises ir leur 6gard.I ls set iennentn 6anmoinsd la dispositiond esa utoritdsju diciaires. Bruxellesl e PourI 'associations onc onseil J..M..FLAGOTHIER Cour P6nale Internationale L€ Burea! du Procureur f nternational Criminal Court The Offlce of the Prosecutor Otrr reference: OTP-CR-144108 The Hague, 7 April 2008 Dear Sir, Madam The Office of the Prosecutor of the Intemational Criminal Court acknolvledges receipt of your documents,4etter. This communication has been duly entered in the Communications Register of the Office. We lvill give considerationt o this communication, as appropriate, in accordancelv ith the provisions of the Rome Statute of the Intemational Criminal Court. As soon as a decision is reached, lve rvill inform you, in wriiing, and provide you lvith reasonsfo r this decision. Yours sincerely, Head of Information & Evidence Unit Office of The Prosecutor Jean-Marie Flagothier 1020 Bruxelies av.J eanS obiesk6i 6 Belgium PostO fficeB ox1 95192, 500C MT heH agueT, heN etherlands Boitep ostale1 95192, 500C M La Haye,P aysB as Telephon/e T 6l6phone+: 3 17 0 5158515. Facsimil/e T 6l€copie+: 3 1 705 158555. h ttp://www.icc-cpi.int Cour P6nale Internationale Le Buaeau du Procureur T}le Otllce of the Pros€utol International Criminal Court Notrerdference: OTP-CR-144/08 La Haye, le 7 avril 2008 lvladame, Monsieur, Le Bureand u Proclreur de la Cour penalei nternafionalea ccuser eceptiond e vos docr.rment/s de votre lettre. Les informations y figurant ont et6 inscrites comme il se doit au registre des communications du Bureau et recevront toute l'attenfion voulue, conformdment allx dispositions dtl Stafut de Rome de la Cour p6nale internationaie. Nous ne manqueronsp asd e vous communiquerp ar ecrit la decisionq ui ar"rra6 tep rise a ce sujet, ainsi que les motivations qui la justifient. Veuillez agr6er,M adame,M onsieur, 1'assuranced e notre considerationd istingr.r6e. Chef de 1'Unite des informaiions et des elemenis de preuve Bureau du Procureur Jean-MarieF lagothier 1020 Bruxelles av. JeanS obiesk6i 6 Belgium PostO fficeB ox 195192, 500C MT heH agueT, heN etherlands Boitep ostale1 9519,250C0 M La Haye,P aysB as Telephon/e T 6l6phone+: 3 17 0 5158515. Facsimil/e T 6l6copie+: 31 70 5158555'http:/iwww.icc-cpi.int

samedi, janvier 27, 2007

Antoine Gizenga ou le retour de Lumumba???

À 81 ans, Gizenga est sans doute le plus vieil homme politique du pays. D’ailleurs, les Congolais l’ont baptisé « le patriarche ». Quand on lui demande le secret de sa bonne condition, il répond : « Très simple, ne pas manger trop et ne boire que de l’eau. Se lever tous les jours à 5 heures et commencer par un peu de gymnastique. Il importe aussi de donner un sens à sa vie, de façon à ne pas compter les jours. Je sais aussi que le peuple me soutient avec ferveur : quand je me suis porté candidat aux élections présidentielles, les 50 000 dollars de caution que je devais verser sont venus de 50 000 versements différents accompagnés d’une signature »
1.La lutte de Patrice Lumumba pour une réelle indépendance politique et économique du Congo a dominé toute l’existence de Gizenga. Quand, en septembre 1960, le futur dictateur Mobutu commet un coup d’État et place le Premier ministre Lumumba (qui, trois mois plus tôt, avait proclamé l’indépendance) en résidence surveillée, Gizenga prend aussitôt la place de Lumumba et se retire à Stanleyville (aujourd’hui Kisangani) avec le reste du gouvernement élu.
Durant les mois qui suivent la mort de Lumumba (en janvier 1961), Mobutu, aidé par la Belgique et les États-Unis, exerce une pression militaire et mène toutes sortes d’intrigues pour s’opposer au gouvernement de Gizenga. Finalement, Gizenga accepte un gouvernement d’« unité nationale ». Quelques mois plus tard, il se rend compte qu’il est tombé dans un piège. De janvier 1961 à fin 1965, il est emprisonné. Les 28 années suivantes, Gizenga les passe à Moscou, Berlin-Est et Luanda (Angola) d’où il continue à diriger son parti, le Palu (Parti lumumbiste unifié).
A l’issue de la guerre froide, la dictature de Mobutu bat de l’aile et les partis politiques acquièrent plus d’influence. Durant cette période, le Palu devient l’un des principaux partis de l’opposition à Mobutu. En février 1992, Gizenga revient à Kinshasa, bien décidé à chasser Mobutu du pouvoir via des élections2. Finalement, ce sera la guerre de libération, dirigée par Laurent Désiré Kabila, qui fera tomber Mobutu, le 17 mai 1997.
Neuf ans plus tard, en août 2006, des élections ont enfin lieu. Au premier tour des présidentielles, le Palu obtient 14 % des voix, énorme pour un parti qui n’a guère de fonds et pas de postes à distribuer.

mardi, novembre 28, 2006

Qui est LAURANT NKUNDA ! ! !

ancien officier de l’armée congolaise accusé de crimes de guerre et dont les forces rebelles ont repris les opérations militaires à l’Est de la RDC, a déclaré nombreux medias. Les lieux où se trouve Nkunda sont bien connus des autorités congolaises et des forces de maintien de la paix des Nations Unies, depuis qu’un mandat d’arrêt a été lancé contre lui en septembre 2005.

Un mandat d’arrêt a été lancé il y a des mois contre Nkunda pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et pour insurrection, mais la police et l’armée n’ont rien fait pour l’arrêter; Aussi longtemps que Nkunda est en liberté, la population civile demeure en grand danger.”

Nkunda était un officier supérieur du Rassemblement Congolaise pour la Démocratie - Goma (RCD-Goma) soutenu par le Rwanda, l’un des principaux groupes rebelles ayant combattu en RDC de 1998 à 2003. En 2004 il a été nommé général dans une nouvelle armée nationale congolaise crée avec des soldats des forces dissidentes à la fin de la guerre. Il a refusé le poste et s’est retiré avec des centaines de ses soldats dans les forêts de Masisi au Nord Kivu. En août 2005.

Nkunda est resté en liberté même si les autorités gouvernementales de la province, l’armée congolaise, et les forces de maintien de la paix des Nations Unies connaissaient les lieux où il se trouvait. Des journalistes locaux et des sources de la société civile ont fait état de ses visites fréquentes à Goma, siège du gouvernement de la province du Nord Kivu et centre d’opérations important pour les soldats congolais et les forces de maintien de la paix des Nations Unies.

mercredi, novembre 22, 2006

Enfin Paul Kagamé dans Le collimateur de la cour pénale international, il devait être inculpé aussi pour le génocide commis en R.D.Congo, dont les 5

La justice française enquête sur la mort du président Habyarimana, qui a déclenché le génocide en 1994. L e parquet de Paris a donné lundi 21 novembre son accord au juge d'instruction Jean-Louis Bruguière pour qu'il délivre des mandats d'arrêts internationaux contre neuf proches du président rwandais, Paul Kagame, dans le cadre de l'enquête sur l'attentat contre son prédécesseur en avril 1994, a-t-on appris de sources judiciaires.Cet attentat contre le président Juvénal Habyarimana, est considéré comme l'élément déclencheur du génocide des Tutsis. Ces mandats d'arrêts visent notamment l'actuel chef d'Etat-major général des Forces rwandaises de défense, James Kabarebe, ainsi que le chef d'Etat-major de l'armée de terre, Charles Kayonga. En 1998, les familles des trois membres d'équipage français de l'avion présidentiel abattu ont porté plainte pour "assassinats en relation avec une entreprise terroriste". En effet, la justice française est compétente lorsque des crimes ou délits sont perpétrés contre ses ressortissants à l'étranger.

vendredi, novembre 10, 2006

Élections en RD Congo et après ?

Par prosper Nobirabo Musafiri Le processus de la refondation de la République démocratique du Congo est désormais irréversible disent les optimistes de la scène politique congolaise. Il est entendu qu’il passe nécessairement par le déroulement du second tour des élections le 29 octobre 2006.Aussi, certains observateurs pensent déjà sur l’essence d’un vote pour un choix utile. Un choix qui doit se caractériser par l’existence d’un leadership fort à même de renforcer la stabilité des institutions nationales congolaises pour qu’elles soient fortes. Des institutions dépersonnalisées qui échappent au culte de la personnalité, mais susceptibles de s’affirmer dans cette logique de concevoir de vrais programmes de développement national. Mais le congolais ne doit plus être naïf ou continuer de rêver. Il vrai, on peut toujours tirer les leçons de ces guerres d’agression et de tous ces complots de déstabilisation du Congo démocratique dans lesquels on met en avant plan la responsabilité de ce bouc-émissaire qu’est l’occident tout en ignorant notre responsabilité personnelle n’est serait ce que sur le plan du silence complice face à la mauvaise gestion des dirigeants prédateurs de notre pays. Au-delà, il ne faut jamais perdre de vue que la République démocratique du Congo est au centre d’un business régional et international. Déjà aux temps forts de la guerre froide, le Congo démocratique alors la République du Zaïre était l’objet de convoitises grâce à sa position géostratégique. Occuper le Congo démocratique, disait-on, c’est contrôler toute l’Afrique. Aussi, Frantz Fanon n’avait-t.il pas raison lorsqu’il affirma que « l’Afrique avait la forme d’un revolver dont la gâchette se trouvait au Congo ». On comprend aisément pourquoi les capitalistes et les communistes ont cherché à prendre le contrôle du Congo Kinshasa, non pas seulement pour assurer la sécurité de leur pays, mais aussi et surtout avoir la main mise sur le diamant, le caoutchouc, le coton, le cuivre, l’or et l’uranium. Par ailleurs, les richesses du sol et du sous-sol congolais ont constitué plus les enjeux économiques que politiques des guerres que les congolais ont connues. Mais cette fois, avec l’Uranium, le pétrole encore inexploité de l’Ituri dans la Province Orientale en RD Congo, le gaz méthane du Lac Kivu, le Coltan, le bois de la forêt de l’Équateur, et par ces temps qui courent, l’eau du fleuve Congo. Autant d’immenses ressources inexploitées qui constituent des objets de convoitise, plaçant ainsi l’ex Zaïre de Mobutu aux centres des intérêts économiques régionaux et internationaux. Problématique de l’Afrique centrale et des grands lacs. Cependant, un fait mérite d’être souligné. Quelles que soient les richesses que le Congo démocratique peut posséder, tant qu’elles sont en sous-sol, inexploitées, la RD Congo ne peut se bomber le torse d’être « un grand pays riche » : C’est une grave illusion qui risque de nous faire dormir debout en ce 21ème siècle marqué par le réalisme et le pragmatisme. Toute richesse est richesse dès lors qu’elle est sur le marché de la concurrence pour que le pays producteur en tire profit. Or, seule une vision réaliste et pragmatique dépourvu de tout discours nationaliste et patriotique partisan peut aider la RD Congo à être la rampe de lancement du développement de l’Afrique centrale et celle de la région des grands lacs (RDC, Ruanda, Burundi). Malheureusement, cette vision région fait cruellement défaut dans le chef de ceux qui prétendent diriger le Congo démocratique. En Afrique centrale, par exemple, la RD Congo a perdu son leadership à cause justement de ce manque des leaders éclairés et capables de lever de défis sur le plan national. Des leaders caractérisés par des insuffisances et tâtonnement abominables sur le plan politique. Alors que le Congo démocratique, ex Zaïre, avait déjà donné le premier secrétaire exécutif de la Communauté économique de l’Afrique Centrale (CEEAC), en la personne de M. Lunda Bululu, la RD Congo n’a pas su capitaliser cet acquis. La mauvaise gestion des affaires publiques par les dirigeants politiques congolais a effacé le Congo démocratique au profit du Gabon, Cameroun et du Congo-Brazzaville. Cette même mauvaise gouvernance caractérisée par le manque de vision régionale claire a fait que la Communauté des pays des grands Lacs (Burundi, RDC et Ruanda) annoncé avec pompe lors de sa création n’a pas résisté à l’épreuve du temps et a volé en éclats. Pire, ce sont des États membres de cette communauté qui ont agressé l’ex-Zaïre. Élections du 29 octobre prochain, des signes inquiétants. Les drames qui se sont produits à Kinshasa du 20 au 22 août 2006, lors de la proclamation du résultat provisoire des élections présidentielles par le président de la commission électorale indépendante M. l’abbé Malu-Malu, à une avalanche de recours introduits à la Cour Suprême de Justice de la RD Congo, à la tension socio-politique sans cesse croissante, à la surexcitation qui caractérise la campagne électorale en cours pour le second tour de scrutin présidentiel, ne sont pas les seuls signes prémonitoires du danger qui plane désormais sur le second tour des élections présidentielles au Congo Kinshasa. En effet, à peine la campagne électorale a-t-elle commencé, que des incidents ont été signalés à Lodja dans la province du Kasaï oriental, à Mbandaka dans la province de l’Équateur et à Lubumbashi chef-lieu de la province du Katanga. Donc entre les propagandistes du camp de Jean Pierre Bemba et ceux de Joseph Kabila le torchon brûle. A Kinshasa, la nomination des officiers généraux, par le président sortant Joseph Kabila, respectivement comme ministre de l’Intérieur et Gouverneur de la capitale vient de rajouter de l’huile aux feux et suscite un tollé dans le milieu politique congolais. Le vice-président Azarias Ruberwa qui a la défense dans sa Commission, déclare que cette nomination n’a jamais été traitée à l’espace présidentiel, ni au gouvernement ni au Conseil supérieur de la Défense. La forte présence des hommes en uniforme (les milices privées des deux présidentiables, la Monuc et l’Eufor) dans la ville de Kinshasa donne l’insomnie à la population congolaise qui voit là des signes inquiétants annonciateurs de l’orage. Les pessimistes y voient déjà la militarisation du pays et de la ville de Kinshasa de façon officielle et unilatérale. A ce cocktail des signes avant coureur s’ajoute le commerce des cartes électorales qui se fait activement, plus particulièrement dans les vingt-quatre municipalités de la ville de Kinshasa. Depuis quelque temps, l’achat et la vente des cartes d’électeurs se font ouvertement, et sont constamment dénoncés dans les médias écrits et audiovisuels de la RD Congo. Des individus se livrent à ce trafic des identités électorales opèrent pour le compte d’une coterie politique qu’il ne faut pas nécessairement être sorcier pour le découvrir. Qu’en dit-on dans les milieux des commanditaires et organisateurs des élections ? Silence radio. Il est étonnant que cette contrebande des cartes d’électeurs passe pour un fait divers ou une rumeur sans fondement, alors qu’il y a des preuves matérielles probantes exhibées aux téléspectateurs par des chaînes de télévision. ‘La commission électorale indépendante’ de l’Abbé-président Apollinaire Malu Malu, la Monuc (Mission de l’observation des Nations Unies au Congo), l’Eufor (Force de l’Union européenne), la Mission d’observation de l’Union européenne, et le comité international de sages, qui sont actuellement présents à Kinshasa et prétendent tout mettre en œuvre afin que le second tour de scrutin présidentiel soit exempt d’irrégularités, restent muets comme des carpes. Pourquoi ne s’occupent-ils pas sérieusement de ces opérations frauduleuses ? Qui ne dit mot consent. ‘La commission électorale indépendante’, la Mission d’observation de l’Union européenne, la Mission d’observation des Nations Unies au Congo donnent l’impression qu’elles s’accommodent de ce trafic des cartes d’électeurs, car dans le cas contraire elles auraient fait tout ce qui est de leur pouvoir pour mettre hors d’état de nuire tous ceux qui préparent ces tricheries pour se délecter d’une victoire volée au second tour de scrutin. Alors, peut-on se vanter d’avoir financé et piloté en RD Congo une transition de trois aboutissant à l’organisation des élections « libres, démocratiques et transparentes » jamais tenues dans ce pays depuis plus de quatre décennies, pour y instaurer une paix durable et des institutions crédibles investies de la confiance du peuple ? Ne va-t-on pas là à une imposition de la paix du cimetière ? Non, l’aide de la communauté internationale pour la transition en RD Congo a été un désastre pour ne pas dire un fiasco et l’organisation des élections le remède pire que le mal.

Jean Pierre Bemba Jean Pierre Bemba cède et abandonne

Le camp du président sortant Joseph kabila savoure en coulisse la victoire et Jean pierre Bemba se contente de faire partie de l’histoire et de devenir l’opposant Eternel de Joseph Kabila…

samedi, octobre 07, 2006

les enfants accusés de sorcellerie sont jetés dans la rue... Cliquez Ici

Chasse aux enfants de la rue à Kinshasa La police nationale congolaise procède à Kinshasa à l’arrestation des enfants de la rue communément appelés «Shégués». L’opération a démarré depuis le mercredi 20 septembre dernier. La situation des enfants des rues apparaît comme le miroir grossissant de la société congolaise actuelle et de ses problèmes.

Les shégés sont un peu les victimes expiatoires d’une société incapable de protéger ses citoyens les plus jeunes et les plus vulnérables contre l’extrême violence dont elle est gangrenée.

Sans une prise de conscience et un investissement réel de la part des pays bailleurs de fonds et des autorités congolaises pour améliorer les conditions de vie de ces enfants, qui sont aussi le futur du Congo, le processus de transition, dont la réussite est tout sauf certaine, risque de déboucher sur un échec

jeudi, août 31, 2006

Le Triangle de la mort : cliquez ici

RD Congo: Les élections approchent, l’impunité perdure au Katanga L’armée Congolaise et les commandants Maï Maï doivent êtres inculpés de crimes de guerre (New York, 21 juillet 2006) -- Tandis que la République Démocratique du Congo se prépare aux élections, l’incapacité du gouvernement à agir rapidement et efficacement contre les soldats et autres responsables de meurtres, viols et tortures opérés contre des civils au Katanga pourrait aggraver le climat actuel de violence et d’insécurité qui règne dans la province, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui.

Bras de Fer au deuxième tour de la présidentielle

Qui de deux aura le soutient de Kisenga au deuxieme tour de la presidentielle??? Antoine Gizenga, arrivé en troisième position après le premier tour de la présidentielle, s’est entretenu hier avec le président Kabila et le Vice-président Jean-Pierre Bemba. Le leader du PALU, qui avait obtenu 13% de voix au premier tour de l’élection présidentielle, a, à ces occasions, « félicité ces deux personnalités pour leurs scores au premier tour et leur a prodigué des conseils…en les appelant à la responsabilité en tant qu’hommes d’Etat » Bien plus, au cours de ces deux rencontres et toujours « la question d’alliance avec l’un ou l’autre candidat au second tour a été abordée…». Ou plus exactement, « effleurée [car] Gizenga attend les résultats complets des législatives pour avoir un tableau plus clair des rapports de forces politiques dans le pays »

jeudi, juillet 27, 2006

L’est du Congo est une véritable poudrière. Les élections pourrait changer le paysage politique. A l’approche des premières élections libres au Congo depuis 40 ans, la menace persiste quant à la stabilité du pays, Les violences renouvelées que cela a déclenché dans l’est du pays, alors que des dissidents du RCD attaquent l’armée nationale nouvellement intégrée, vont probablement s’intensifier tant avant qu’après les élections. le vote n’a pas été préparé convenablement. Les mesures de précaution contre la fraude restent minimales or des élections truquées pourraient rapidement déstabiliser le pays et provoquer des troubles en zone urbaine. le traditionnel parti d’opposition, l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) d’Etienne Tshisekedi, va boycotter les élections afin de marquer son mécontentement face au manque de volonté des principaux partis de négocier avec lui. Il est probable que ceci provoque des troubles dans les deux provinces Kasaïennes et à Kinshasa, où Tshisekedi bénéficie d’un soutien considérable. La fraude électorale est une éventualité considérable. Le ministère de la Justice a échoué à promouvoir des projets de lois qui garantissent l’indépendance du pouvoir judiciaire. Les tribunaux qui devront enquêter et se prononcer sur les litiges électoraux demeurent politisés. Une proposition de loi sur le financement de la campagne électorale a également été suspendue. D’autre part, d’anciens belligérants maintiennent des chaînes de commandement parallèles au sein des forces de sécurité chargées de protéger les élections et n’ont pas hésité à influencer ou à intimider les électeurs. À Kinshasa et Lubumbashi, ces forces ont harcelé les partis politiques et dispersé les manifestations. La police nationale est peu formée et la nouvelle armée est faible, encore mal intégrée et fortement politisée. Les élections sont un pas dans la bonne direction, mais si elles ne se déroulent pas correctement, elles pourraient entraîner des troubles accrus. Si la population et les dirigeants estiment que le changement ne peut sortir des urnes, ils pourraient recourir à la violence pour contester les résultats. Il incombe aux autorités transitoires et à la communauté internationale de garantir que ces élections, les premières élections multipartites depuis 1965, soient une étape décisive mettant fin au trop long conflit congolais.

A trois jours des elections...

Au fur et à mesure qu'approche la date des élections en République démocratique du Congo (RDC), la peur gagne les populations. A trois jours de cette échéance au cours de laquelle quelque 25,7 millions d'électeurs - un chiffre qui suscite la polémique - sont appelés à élire leur futur chef d'Etat parmi 33 candidats, dont le président sortant Joseph Kabila. Ainsi que les 500 députés de la future Assemblée nationale que se disputent 9.707 candidats, le climat socio-politique apparaît alourdi. Il n'est pas jusqu'aux responsables de la Mission des Nations unies en République démocratique du Congo (Monuc) qui ne s'inquiètent d'une tension grandissante. " L'intolérance est montée en flèche ces derniers jours avec des prises de bec entre militants, des affiches arrachées, déchirées, quand elles ne sont pas brûlées ", a déploré lundi lors d'une conférence de presse à Kinshasa Kemal Saïki, porte-parole de la Monuc. Ce dernier a dénoncé " de nombreux incidents et irrégularités " ayant émaillé la campagne électorale qui éteindra ses carillons samedi à minuit, après avoir tenu l'affiche quatre semaines durant, depuis le 29 juin. M. Saïki a notamment évoqué l'arrestation d'enfants, la semaine dernière, dans un marché public de la capitale congolaise et le fait que des candidats aient été empêchés de battre campagne, à la suite de menaces ou d'intimidations émanant de partisans d'autres candidats ou de groupes non identifiés dans plusieurs provinces, notamment au Sud-Kivu et au Kasaï occidental. La Monuc accuse le gouvernement de procéder à des arrestations arbitraires et d'avoir intimidé certaines entreprises pour qu'elles arrêtent de travailler avec les adversaires de Joseph Kabila. Elle s'est déclarée préoccupée par la répression d'une manifestation d'opposants mardi à Kinshasa, sans justification légale apparente. Dimanche à Mbuji-Mayi, dans le centre du pays, de nombreuses personnes ont été arrêtées lors d'incidents après un meeting du chef de l'Etat sortant. Cette localité est le fief de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), formation du vieux briscard Etienne Tshisekedi, qui boycotte les scrutins, jugeant le processus " opaque ". Les incidents ont éclaté quand de jeunes manifestants proches de ce parti ont jeté des pierres sur le cortège de Joseph Kabila au sortir de son meeting. Les responsables de l'Eglise catholique en RDC étaient déjà montés au créneau vendredi dernier pour dénoncer les " irrégularités constatées " dans la préparation des élections et avaient brandi la menace de ne pas en reconnaître la validité des résultats. Faisant fi de cette position, le pape Benoît XVI a appelé les congolais à se rendre massivement aux urnes dimanche. C'était au cours d'une audience qu'il a accordée à l'archevêque de Bukavu.
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