"la liberté d'expression est de rigueur dans le respect des lois" Ce blog traite essentiellement la situation politique, économique et sociale de la République Démocratique du Congo. Cet espace de discussion traite toute information d'une façon objective, offre la possibilité à ses lecteurs de déposer leur commentaire,de développer un projet ou un point de vue. "le savoir et la creation sont des ressources qui doivent demeurer libre"
dimanche, mars 28, 2010
The World Capital of Killing
vendredi, mai 23, 2008
Inculpation de Joseph Kabila à la CPI Cour Pénale Internationale
samedi, janvier 27, 2007
Antoine Gizenga ou le retour de Lumumba???
mardi, novembre 28, 2006
Qui est LAURANT NKUNDA ! ! !
ancien officier de l’armée congolaise accusé de crimes de guerre et dont les forces rebelles ont repris les opérations militaires à l’Est de la RDC, a déclaré nombreux medias. Les lieux où se trouve Nkunda sont bien connus des autorités congolaises et des forces de maintien de la paix des Nations Unies, depuis qu’un mandat d’arrêt a été lancé contre lui en septembre 2005. Un mandat d’arrêt a été lancé il y a des mois contre Nkunda pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et pour insurrection, mais la police et l’armée n’ont rien fait pour l’arrêter; Aussi longtemps que Nkunda est en liberté, la population civile demeure en grand danger.”
Nkunda était un officier supérieur du Rassemblement Congolaise pour la Démocratie - Goma (RCD-Goma) soutenu par le Rwanda, l’un des principaux groupes rebelles ayant combattu en RDC de 1998 à 2003. En 2004 il a été nommé général dans une nouvelle armée nationale congolaise crée avec des soldats des forces dissidentes à la fin de la guerre. Il a refusé le poste et s’est retiré avec des centaines de ses soldats dans les forêts de Masisi au Nord Kivu. En août 2005.
Nkunda est resté en liberté même si les autorités gouvernementales de la province, l’armée congolaise, et les forces de maintien de la paix des Nations Unies connaissaient les lieux où il se trouvait. Des journalistes locaux et des sources de la société civile ont fait état de ses visites fréquentes à Goma, siège du gouvernement de la province du Nord Kivu et centre d’opérations important pour les soldats congolais et les forces de maintien de la paix des Nations Unies.
dimanche, novembre 26, 2006
mercredi, novembre 22, 2006
Enfin Paul Kagamé dans Le collimateur de la cour pénale international, il devait être inculpé aussi pour le génocide commis en R.D.Congo, dont les 5

La justice française enquête sur la mort du président Habyarimana, qui a déclenché le génocide en 1994.
L e parquet de Paris a donné lundi 21 novembre son accord au juge d'instruction Jean-Louis Bruguière pour qu'il délivre des mandats d'arrêts internationaux contre neuf proches du président rwandais, Paul Kagame, dans le cadre de l'enquête sur l'attentat contre son prédécesseur en avril 1994, a-t-on appris de sources judiciaires.Cet attentat contre le président Juvénal Habyarimana, est considéré comme l'élément déclencheur du génocide des Tutsis. Ces mandats d'arrêts visent notamment l'actuel chef d'Etat-major général des Forces rwandaises de défense, James Kabarebe, ainsi que le chef d'Etat-major de l'armée de terre, Charles Kayonga. En 1998, les familles des trois membres d'équipage français de l'avion présidentiel abattu ont porté plainte pour "assassinats en relation avec une entreprise terroriste". En effet, la justice française est compétente lorsque des crimes ou délits sont perpétrés contre ses ressortissants à l'étranger.
vendredi, novembre 10, 2006
Élections en RD Congo et après ?
Jean Pierre Bemba Jean Pierre Bemba cède et abandonne

samedi, octobre 07, 2006
les enfants accusés de sorcellerie sont jetés dans la rue... Cliquez Ici
Chasse aux enfants de la rue à Kinshasa
La police nationale congolaise procède à Kinshasa à l’arrestation des enfants de la rue communément appelés «Shégués». L’opération a démarré depuis le mercredi 20 septembre dernier.
La situation des enfants des rues apparaît comme le miroir grossissant de la société congolaise actuelle et de ses problèmes.
Les shégés sont un peu les victimes expiatoires d’une société incapable de protéger ses citoyens les plus jeunes et les plus vulnérables contre l’extrême violence dont elle est gangrenée.
Sans une prise de conscience et un investissement réel de la part des pays bailleurs de fonds et des autorités congolaises pour améliorer les conditions de vie de ces enfants, qui sont aussi le futur du Congo, le processus de transition, dont la réussite est tout sauf certaine, risque de déboucher sur un échec
jeudi, août 31, 2006
Le Triangle de la mort : cliquez ici
Bras de Fer au deuxième tour de la présidentielle


Qui de deux aura le soutient de Kisenga au deuxieme tour de la presidentielle???
Antoine Gizenga, arrivé en troisième position après le premier tour de la présidentielle, s’est entretenu hier avec le président Kabila et le Vice-président Jean-Pierre Bemba. Le leader du PALU, qui avait obtenu 13% de voix au premier tour de l’élection présidentielle, a, à ces occasions, « félicité ces deux personnalités pour leurs scores au premier tour et leur a prodigué des conseils…en les appelant à la responsabilité en tant qu’hommes d’Etat »
Bien plus, au cours de ces deux rencontres et toujours « la question d’alliance avec l’un ou l’autre candidat au second tour a été abordée…». Ou plus exactement, « effleurée [car] Gizenga attend les résultats complets des législatives pour avoir un tableau plus clair des rapports de forces politiques dans le pays »
jeudi, juillet 27, 2006
L’est du Congo est une véritable poudrière. Les élections pourrait changer le paysage politique.
A l’approche des premières élections libres au Congo depuis 40 ans, la menace persiste quant à la stabilité du pays, Les violences renouvelées que cela a déclenché dans l’est du pays, alors que des dissidents du RCD attaquent l’armée nationale nouvellement intégrée, vont probablement s’intensifier tant avant qu’après les élections.
le vote n’a pas été préparé convenablement. Les mesures de précaution contre la fraude restent minimales or des élections truquées pourraient rapidement déstabiliser le pays et provoquer des troubles en zone urbaine. le traditionnel parti d’opposition, l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) d’Etienne Tshisekedi, va boycotter les élections afin de marquer son mécontentement face au manque de volonté des principaux partis de négocier avec lui. Il est probable que ceci provoque des troubles dans les deux provinces Kasaïennes et à Kinshasa, où Tshisekedi bénéficie d’un soutien considérable.
La fraude électorale est une éventualité considérable. Le ministère de la Justice a échoué à promouvoir des projets de lois qui garantissent l’indépendance du pouvoir judiciaire. Les tribunaux qui devront enquêter et se prononcer sur les litiges électoraux demeurent politisés. Une proposition de loi sur le financement de la campagne électorale a également été suspendue. D’autre part, d’anciens belligérants maintiennent des chaînes de commandement parallèles au sein des forces de sécurité chargées de protéger les élections et n’ont pas hésité à influencer ou à intimider les électeurs. À Kinshasa et Lubumbashi, ces forces ont harcelé les partis politiques et dispersé les manifestations. La police nationale est peu formée et la nouvelle armée est faible, encore mal intégrée et fortement politisée.
Les élections sont un pas dans la bonne direction, mais si elles ne se déroulent pas correctement, elles pourraient entraîner des troubles accrus. Si la population et les dirigeants estiment que le changement ne peut sortir des urnes, ils pourraient recourir à la violence pour contester les résultats. Il incombe aux autorités transitoires et à la communauté internationale de garantir que ces élections, les premières élections multipartites depuis 1965, soient une étape décisive mettant fin au trop long conflit congolais.
A trois jours des elections...
Au fur et à mesure qu'approche la date des élections en République démocratique du Congo (RDC), la peur gagne les populations.
A trois jours de cette échéance au cours de laquelle quelque 25,7 millions d'électeurs - un chiffre qui suscite la polémique - sont appelés à élire leur futur chef d'Etat parmi 33 candidats, dont le président sortant Joseph Kabila. Ainsi que les 500 députés de la future Assemblée nationale que se disputent 9.707 candidats, le climat socio-politique apparaît alourdi. Il n'est pas jusqu'aux responsables de la Mission des Nations unies en République démocratique du Congo (Monuc) qui ne s'inquiètent d'une tension grandissante.
" L'intolérance est montée en flèche ces derniers jours avec des prises de bec entre militants, des affiches arrachées, déchirées, quand elles ne sont pas brûlées ", a déploré lundi lors d'une conférence de presse à Kinshasa Kemal Saïki, porte-parole de la Monuc. Ce dernier a dénoncé "
de nombreux incidents et irrégularités " ayant émaillé la campagne électorale qui éteindra ses carillons samedi à minuit, après avoir tenu l'affiche quatre semaines durant, depuis le 29 juin. M. Saïki a notamment évoqué l'arrestation d'enfants, la semaine dernière, dans un marché public de la capitale congolaise et le fait que des candidats aient été empêchés de battre campagne, à la suite de menaces ou d'intimidations émanant de partisans d'autres candidats ou de groupes non identifiés dans plusieurs provinces, notamment au Sud-Kivu et au Kasaï occidental.
La Monuc accuse le gouvernement de procéder à des arrestations arbitraires et d'avoir intimidé certaines entreprises pour qu'elles arrêtent de travailler avec les adversaires de Joseph Kabila. Elle s'est déclarée préoccupée par la répression d'une manifestation d'opposants mardi à Kinshasa, sans justification légale apparente. Dimanche à Mbuji-Mayi, dans le centre du pays, de nombreuses personnes ont été arrêtées lors d'incidents après un meeting du chef de l'Etat sortant. Cette localité est le fief de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), formation du vieux briscard Etienne Tshisekedi, qui boycotte les scrutins, jugeant le processus " opaque ". Les incidents ont éclaté quand de jeunes manifestants proches de ce parti ont jeté des pierres sur le cortège de Joseph Kabila au sortir de son meeting.
Les responsables de l'Eglise catholique en RDC étaient déjà montés au créneau vendredi dernier pour dénoncer les " irrégularités constatées " dans la préparation des élections et avaient brandi la menace de ne pas en reconnaître la validité des résultats. Faisant fi de cette position, le pape Benoît XVI a appelé les congolais à se rendre massivement aux urnes dimanche. C'était au cours d'une audience qu'il a accordée à l'archevêque de Bukavu.