dimanche, mai 01, 2011

Les milices FDLR occupent les mines d’étain les plus importantes. L'industrie minière dans l'est du Congo est exploité par les militaires, les habitants sont exposés à de l'extorsion.






Les miliciens hutus rwandais des FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda),  ont leurs bastions dans l'est de la République démocratique du Congo . Ils ont occupé sans combat mardi les mines d'étain de Bisi, l'exploitation minière zone plus lucratifs de l'Est du Congo.


 Comme l'ONU la station de radio Radio Okapi a rapporté que les combattants des FDLR ont le jour suivant mais encore une fois, mais pas avant d'avoir mis en garde lors d'une réunion publique, ils ne tolèrent aucune présence de l'armée gouvernementale congolaise plus. Puis ils ont demandé à chaque résident une rançon de 1.000 francs congolais (équivalent à 1 Euro) avant de se replier dans les forêts environnantes.



La milice ne pouvait revenir à tout moment, les résidents craignent maintenant. Les FDLR avaient déjà annoncé leur entrée, après quoi les autorités locales ont fui, ont rapporté des témoins.
Les mines d'étain de pois verts sont les plus importants de l'Est de la RD Congo Förderort minerai d'étain de la cassitérite et donc la plus importante source de revenu dans toute la région, des milliers de prospecteurs de travail de l'offre, même dans des conditions très pauvres. Beaucoup de mines d'étain sont exploités depuis des années directement par les unités de l'armée congolaise et les résidents sont vulnérables à l'extorsion de fonds par les militaires suspendus.
En Septembre 2010, le gouvernement du Congo avait interdit l'exportation de minerai d'étain et d'autres minéraux de l'Est du Congo pour obtenir la situation sous contrôle. Ce sont plutôt les prospecteurs  de l'entreprise et l'augmentation de la militarisation de la région.
La police des mines sont sans défense contre les FDLR, et la promotion des exportations et sont lents à décoller. Selon l'Institut congolais de recherche Pôle instituts travaillent en Bisi, l'exploitation est tombé de 10 à 0,5 tonnes par jour, et le prix d'achat sont réduits de dollars des États-Unis de 7 à 3 par kilogramme de minerai.
En outre, depuis le 1 Avril, une nouvelle loi en vigueur dans les États-Unis, qui interdit aux sociétés minières d'acheter des minerais du Congo et ses pays voisins, s'il peut être démontré que les marchandises n'ont rien à voir avec les conflits. Comme il n'y a pas les mécanismes de certification appropriées, les exportations congolaises juridiquement  depuis au point mort, bien que pour être en conformité avec les données américaines, les règles juridiques pertinentes effectivement appliqué que vers la fin de l'année.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

referencement google - streetwear - location utilitaire longue durée - médium pur