"La guerre à venir est difficile"

 l'offensive de l'armée conjointe rwando-congolaise «Umoja Wetu» contre les positions des hutus rwandais des FDLR milice (Forces démocratiques de libération du Rwanda) en République démocratique du Congo a atteint son sommet, ont discuté des FDLR Président Ignace Murwanashyaka et son Premier vice-président Straton Musoni en Allemagne de nombreux articles sur les conséquences.

Ces appels téléphoniques interceptées entre les deux accusés dans les crimes de guerre procès devant la OLG Stuttgart ont été au centre de la 27e jour des négociations Juillet 2011. Il devrait y avoir des preuves que les deux prévenus de façon intensive parlé du développement politique - et que les FDLR président Murwanashyaka communiqué directement avec les unités des FDLR sur le terrain.

Révélateur, c'est que les dirigeants des FDLR seraient immédiatement après le début de «Umoja Wetu» il a continué, en réponse à l'invasion du Rwanda du Congo à l'appui de l'armée congolaise à ouvrir des opportunités pour les FDLR au Rwanda. "La guerre à venir est difficile", a déclaré le 25 Murwanashyaka Janvier 2009, le premier dimanche après l'arrivée des soldats du gouvernement rwandais au Congo, téléphone Musoni.

"Ils vont envoyer de nombreux soldats. Mais attendez, vous allez entendre ce qui se passe les prochains mois au Rwanda." Musoni rapports Murwanashyaka d'entretiens avec des contacts locaux, qui stipule que «presque tous les soldats ont quitté la région de Kigali (Rwanda, la capitale) (...) Il n'ya pas de soldats."

Musoni suppose que le Rwanda 25000-30000 homme - veut envoyer au Congo - la plus grande partie de son armée, mais n'ont jamais eu à lui. Contactez Musonis homme dit, "était l'objectif qui ils ne veulent pas que la guerre se déroule sur le sol rwandais. C'est pourquoi ils envoient presque toute l'armée. Nous avons besoin de savoir."

Le Rwanda n'a pas voulu seulement intervenir au Nord-Kivu, mais aussi dans le Sud-Kivu, mais a empêché les autres sous la mission de l'ONU de la MONUC, afin Musoni: "Il ya ceux qui veulent traverser du sud au Bukavu au Sud Kivu . vous avez eu un petit problème. Ils n'avaient pas la permission de traverser. Il est également dit que la MONUC est intervenue. "

Murwanashyaka et Musoni parle dans l'interview a également grand besoin d'argent pour payer les frais d'appels via téléphone satellite Thuraya - le seul contact avec des agents des FDLR dans la brousse congolaise. Musoni conseille la prudence: «... Il faut voir comment utiliser ces moyens de communication qu'il doit y avoir certains moments où il ne vise pas à transformer chaque minute que vous avez à vous dire, ne pas rester tout le temps."

Murwanashyaka est d'accord: «Je ne suis plus avec le haut commandement de l'OFAC (Forces combattantes Abacunguzi - la branche armée des FDLR) parler directement avec les unités, mais il serait trop dangereux .."Musoni est du même avis: «Les commandants OFAC ne devrait pas tourner à plus de téléphone, vous devriez aller ailleurs et rendre le téléphone pendant deux semaines, nous savons alors que nous atteignons, ils ne peuvent pas, les unités seront ensuite savoir comment communiquer avec eux .... " Murwanashyaka a déclaré: «Je discute directement avec les unités de combat, il n'est pas nécessaire de parler avec le haut commandement .."

La crainte de possibles attaques contre les deux lieu FDLR commandant militaire. Il est fait référence aux tentatives de tuer au Congo combats rebelle ougandais Joseph Kony. "Nous devons être prudents, sinon nous allons perdre beaucoup de gens", a déclaré M. Murwanashyaka. Musoni: «. Dites-leur d'éteindre leurs appareils" Discutera également de la relocalisation de la course par l'Allemagne de page d'accueil du FDLR pour le cas où ils «seront verrouillés à Sarrebruck", a déclaré Musoni.

Trois jours plus tard, le 28 Janvier 2009 parle, les deux fois. La guerre dans l'Est du Congo est en plein essor. «Les choses ont empiré dans le sol. Nous avons plus difficile de s'attendre à des combats dans les prochains jours», affirme M. Murwanashyaka. "Kibua (siège des FDLR au Nord-Kivu) a été évacué aujourd'hui demain. (...) Je suis en attente d'un message qui confirme que le vice-commandant de la brigade de réserve, qui fonctionne normalement dans les environs de Kibua qu'il pourrait être dans le la lutte est mort. " La mort de vice-commandant de la brigade des FDLR du colonel Hitimana Anaclet a été confirmé plus tard.

Musoni a indiqué qu'il avait entendu, et même un hélicoptère avec les pilotes russes MiG avion de chasse étaient sur leur chemin. «Certains vont même prendre les chiens afin qu'ils puissent suivre où les gens se cachent», dit-il.

Comme moyen de propagande, les FDLR, les dirigeants rwandais continuent de s'appuyer sur le front intérieur: si soldats de l'armée rwandaise dans les combats, perd les FDLR pourrait exploiter cette.«Si nous savons qu'une seule personne parmi eux qui est décédé, nous avons besoin de le publier immédiatement», exhorte Musoni. S'il y avait une identification fiable d'un homme tué "pour que nous puissions démotiver les autres", a déclaré Musoni, «ceux qui ont été portées contre leur gré dans la guerre." Murwanashyaka est d'accord: «Le besoin d'appeler ou de leur écrire, vous devriez leur dire .. Laisser le côté de nos ennemis, nous vous accueillons." Musoni a confirmé: "Nous devons tout faire pour que les gens qui sont venus pour nous combattre, viennent à nous».

En fait, c'est le contraire qui arrive: Non à la désertion des soldats rwandais du FDLR, mais des combattants FDLR vont en masse au Rwanda. En Murwanashyaka et Musoni sont dans une troisième entrevue lors de la 5ème Février 2009 abasourdi. «Je voulais aussi vous demander, ce que j'ai entendu aux nouvelles que 300 retour Flüchtilnge. Avez-vous cela?" demande Musoni. "Je n'ai pas eu" des réponses Murwanashyaka. «C'est au sujet du retour des réfugiés et des soldats», a précisé Musoni. "Quel est le retour des réfugiés et des soldats? Je n'ai aucune idée de notre position." Murwanashyaka pas: «Je n'ai pas de nouvelles au sujet du fait qu'il ya 300 personnes de retour."

Cette conversation a été seulement lu en partie à la prochaine audience et seront pleinement introduits. Le processus est le 2 Août continué.

Rédacteurs: Dominic Johnson

Kinshasa - L'opposition en République démocratique du Congo a nommé l'ancien vice-président Jean-Pierre Bemba pour leur candidat à l'élection présidentielle de Novembre.

Bemba est actuellement à la Cour pénale internationale (CPI ou CPI) à La Haye le procès pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité. Selon le procureur Jean-Pierre Bemba est responsable des atrocités, perpétrées sa milice privée dans les années 2002 et 2003.

Le parti d'opposition, le Mouvement pour la Libération du Congo (Mouvement de Libération du Congo / MLC), a déclaré la fin de la soirée du samedi, Jean-Pierre Bemba était le seul candidat acceptable pour diriger le pays. Son adversaire, Joseph Kabila, devenu président en 2001 et en 2006 a été confirmée dans les premières élections démocratiques au Congo dans le bureau.

Jean-Pierre Bemba, lde 2003 à 2006 vice-président.Lors de l'élection présidentielle, il a été défait par Kabila en Octobre 2006, il a refusé de reconnaître sa victoire et partit en exil. En mai 2008 il a été arrêté en Belgique et extradé vers la CPI à La Haye.

Membres du MLC sont entre Octobre 2002 et Mars 2003 en République centrafricaine voisine, de nombreux hommes, femmes et enfants torturé et tué. Le président Ange-Félix Patassé centrafricaine aider à réprimer une révolte de ses chef de l'armée François Bozizé.En dépit des actions cruelles de la MLC le coup a réussi.Bozizé a appelé plus tard comme président de la CPI pour poursuivre les crimes de guerre dans son pays.

La Cour considère que près de 400 personnes ont également été violées. Les victimes des attentats auraient entre huit et 70 ans. La Cour évalue les actions du MLC de Bemba dans son voisin du Nord comme «une attaque systématique contre la population civile." Selon le témoignage des victimes.Jean-Pierre Bemba en Novembre a plaidé non coupable.

Tshisekedi a depuis longtemps disparu. Maintenant, il veut être président. Le chef de l'ancienne opposition se soucie de la démocratie et craint des fraudes électorales. Par DOMINIC JOHNSON (07/07/2011)

BERLIN taz | Le 28 Novembre prochain aura en République démocratique du Congo, les élections , et ils sont considérés comme de tester cinq ans après les premières élections libres en 2006. Mais plus l'échéance, plus grande sera parmi les adversaires du Président Joseph Kabila .

Le lundi, il y avait des émeutes dans le centre de la capitale Kinshasa, comme le plus ancien parti d'opposition UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) contre les irrégularités présumées dans le cours ré-enregistrement de tous les électeurs démontrée. Il y avait au moins un mort. L'UDPS sous Etienne Tshisekedi, leader historique du mouvement pour la démocratie congolaise, avait boycotté les élections de 2006 et donc mis sur la touche. Cette fois-ci s'allume et l'espoir d'une pression internationale pour assurer des élections correcte, Tshisekedi au Taz dit lors d'une visite à Berlin.

2006 avait forcé le monde que le Président Kabila, le chef de l'opposition 78 ans, qui survient après une longue maladie, désormais rajeuni incroyable. "Aujourd'hui, la communauté internationale a pris conscience qu'ils ont fait une erreur. Ils ont décidé de laisser au peuple congolais de choisir librement. Kabila prépare à la fraude électorale et j'invite la pression sur Kabila afin qu'il permet une élection libre et transparente." Kabila l'emporterait par falsification, il menace le destin des dictateurs, la Tunisie et l'Egypte.

Le Conseil de sécurité avait le 28 Juin, le mandat de l'ONU au Congo prolongé d'un an - en dépit des précédents appels Kabila, de déduire jusqu'à l'élection, les casques bleus. Le Conseil de sécurité Résolution 1991 "exhorte le Gouvernement et toutes les parties concernées, un environnement pour une société libre, juste, crédible, inclusif, transparent, le processus électoral en temps opportun et pacifique à assurer un fonctionnement silencieux." Cela signifiait "libre débat politique, la liberté d'expression, la libre association, l'accès égal aux médias, de la sécurité."

Le choix des gouvernants astuces Joseph Kabila

L'UDPS accuse la commission électorale à s'inscrire dans le fief de Kabila et les mineurs dans les bastions de l'opposition pour empêcher la ré-inscription des électeurs. Dans plusieurs provinces aujourd'hui, la période d'inscription jusqu'au 10 ou 15 Étendue en Juillet. À la fin de Juin ont été 28.591.426 électeurs inscrits. Il devrait être d'environ 31 millions à la fin.

Une victoire électorale de Kabila semble probable, car cette fois-ci par rapport à 2006, une majorité relative est suffisante dans le premier tour. Pour battre le président, ses adversaires auraient à se réunir: l'UDPS dans Tshisekedi, le MLC sous le désormais incarcéré à La Haye, Jean-Pierre Bemba et le nouvellement créé UNC (Union des nation congolaise) du Kamerhe enceintes parlementaires anciens Vital.Au niveau international, comme un perdant perpétuelle Tshisekedi et Bemba a été discrédité. Kamerhe éveillé la curiosité - mais de nombreux adversaires ne pas lui faire confiance, car en 2006 il a dirigé la campagne électorale de Kabila.

Tshisekedi donc amortir les attentes d'un candidat de l'opposition commune: "Il n'est pas question que je soutiens encore 30 ans je me bats pour la démocratie .." L'espoir de l'UDPS semble être que Kamerhe être revendus à Kabila, Bemba, le MLC sera faible sans Tshisekedi et puis à gauche. «Nous sommes le seul parti qui est enracinée dans chaque village du Congo», a déclaré Tshisekedi. "Seul l'UDPS ne peut remplacer le régime actuel
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Ukraine: douzième plus gros exportateur d'armes dans le monde

L'Ukraine a exporté des armes  2010 qui vaut en dollars US près d'un milliard, le Service d'État ukrainien de contrôle des exportations, qui cite la société d'Etat "Ukrspezexport" . La société a annoncé les résultats de ses opérations l'année dernière et a annoncé que "le montant total des contrats d'exportation et d'importation pour les biens et services militaires en 2010 à 956,7 millions de dollars américains et en 2009 a été 799,5 millions de dollars.


les plus gros acheteurs sont les pays en Afrique, notamment le Soudan et la République démocratique du Congo. L'Ukraine a fourni un total de 250 chars de combat de l'Afrique. 100 chars de type T-72 tanks et 30 T-55 de type ont été livrés en RD Congo, 60 de type T-72M et de 55 réservoirs de chars de type T-55 a reçu le Soudan. Le Kenya a obtenu 26 lance-grenades et d'armes automatiques ukrainienne fourni environ 2500.


 Les pays relativement petit de l'Ouganda a importé environ 40 canons 000 sous-machine et plusieurs centaines de lumière et de mitrailleuses lourdes, assez pour tous les membres des forces armées de l'Etat. Selon un communiqué du service de contrôle à l'exportation a été l'une en 1985 développée acheté blindés de type T-80BW des États-Unis . Après l'Italie, quatre roquettes de type R-24, R et R-27-73 livré.  


 Les Etats-Unis et l'Allemagne ont également acheté 95 400 ou 32 970 fusils et 4000 et 11 630 pistolets. L'Ukraine occupe actuellement la douzième place dans le classement mondial des exportateurs d'armes, révèle l'étude récente de l'Institut de Stockholm pour la recherche pour les questions de paix. 

Déjà l'année dernière, où le monde entier ne parlait que d'Haïti, le choléra a tué beaucoup de gens en RD Congo. Depuis Mars, une nouvelle épidémie fait rage.

Plus de 3700 cas de cas de choléra sont déjà connus et plus de 250 personnes sont mortes du choléra depuis Mars. Cela a été un représentant de l'OMS, l'Organisation mondiale de la Santé, le mardi 19 Annoncé en Juillet 2011. Initialement, la maladie s'est propagée dans le nord-est du pays, dans la province Orientale, jusqu'à ce qu'ils finalement atteint le Bandundu, l'Equateur et le Kinshasa du capital. Dans le pays socialement faibles, survenus dans le passé à plusieurs reprises pour des épidémies de choléra. Une des pires 2002e distribué L'an dernier, 2010, lorsque la maladie a été l'épidémie de choléra fait rage en Haïti sur toutes les lèvres, le choléra en RDC. Dans la plupart des pays en développement, le choléra est normal, il se produit souvent dans les épidémies et ces pays sont à peine mentionnés dans les médias.

Qu'est-ce que le choléra?

Appelé le choléra ou la diarrhée et des vomissements biliaires est une maladie infectieuse de l'intestin grêle. Les pathogènes trouvés dans les selles des patients. Dans les pays où il n'existe pas de systèmes de traitement des eaux usées, il ya un risque que les agents pathogènes passent à travers les fèces dans l'eau et généralement sale de toute façon la cause de cette épidémie ensemble. La maladie est causée par la bactérie Vibrio cholerae et se compose de trois phases. Initialement, le patient a la diarrhée et des vomissements et des selles très liquides, qui est généralement entrecoupées de flocons de mucus. Dans la deuxième phase des changements survenus en particulier au visage par la déshydratation et les actes. Dans la troisième phase de l'ensemble du corps réagit à la maladie avec des symptômes comme une forte fièvre, parfois le coma, confusion, réactions cutanées, et le fait qu'il est si faible, il est commun à d'autres maladies comme la pneumonie. Le choléra est, si elle est traitée correctement et à temps, pas fatal dans la plupart des cas. En savoir plus sur le choléra dans les Suite.101 " Quel est le choléra . "

Problèmes de la République démocratique du Congo

Le territoire de la République est née en 1885 sous la règle coloniale brutale du roi belge Léopold II était l'indépendance en 1960, mais était le 32 prochaines années par le dictateur Mobutu Sese Seko a statué, qui a été évincé en 1997 par le chef rebelle Laurent-Désiré Kabila, conduisant à une sanglante guerre civile a entraîné, connue comme la «guerre mondiale africaine». Ce n'est qu'en 2002 un accord de paix a été signé. Beaucoup de politiciens d'autres pays ont essayé de négocier la paix. Entre autres choses, l'ancien président décédé récemment en Zambie a été Frederick Chiluba, impliqués dans les négociations.

 Malgré l'accord, il ya encore des troubles dans le pays. Tourmenté par toutes les guerres, les émeutes et les sanglantes et les conflits est de la RD Congo, malgré une richesse de ressources naturelles est l'un des pays les plus pauvres sur terre, avec des conditions sociales catastrophiques. Il n'ya vraiment aucun système social. La plupart des hôpitaux ont été détruits pendant la guerre et un médecin est d'environ 10 000 personnes. Le taux de mortalité infantile à la naissance est 79,36%, l'espérance de vie moyenne est d'environ 55 ans. Le choléra n'est pas la seule maladie qui est en circulation. Le paludisme, le VIH, la typhoïde, l'hépatite, maladie du sommeil, le virus Ebola et, dans certains cas même tuer la population de la lèpre. Le plus gros problème est le manque de conditions d'hygiène. Sur terre, seulement environ 32% de la population a accès à l'eau potable. La forte densité de population a augmenté la propagation de diverses maladies.

Sources : http://www.suite101.de

A cinq mois avant les élections présidentielles en République démocratique du Congo, la Fondation Konrad Adenauer en collaboration avec la Fondation allemande pour l'Afrique pour la discussion technique sur l'évolution politique actuelle en RDC invités. Les conférenciers suivants parlé de l'Afrique experts Hartwig Fischer MP, le professeur Dr Mabiala Mantuba-Ngoma, un professeur d'anthropologie à l'Université de Kinshasa et Tinko Weibezahl, chef du bureau de la KAS en RD Congo.

Éditeur: Konrad-Adenauer-Stiftung eV



De gauche à droite: Hartwig Fischer député, Dr. Mabiala Mantuba-Ngoma, Tinko Weibezahl (Photo © Arnold EV / Marit)

Selon Weibezahl est l'un des plus grands problèmes auxquels le pays qui est encore très pauvre et l'infrastructure du conflit en cours. De grandes parties du pays sont coupées liaisons de transport et ont peu ou pas d'eau acceptable et la fourniture d'électricité. La région de l'Est du Congo reste dans les mains des milices et est considéré comme pacifié. En ce qui concerne les élections Weibezahl souligné que ces n'avait pas encore décidé, comme le président Joseph Kabila par Etienne Tshisekedi, qui sont rentrés d'exil au chef de l'opposition UDPS, a reçu un adversaire fort.

Dr. Mabiala Mantuba-Ngoma a parlé du très discuté constitution congolaise, qui à bien des égards, le nachstünde allemand dans quoi que ce soit, mais je ne vais pas être mis en œuvre en RD Congo dans la réalité. En ce qui concerne le système des partis politiques dans la République démocratique du Congo a souligné Mabiala le problème de la fragmentation. Dim. actuellement 305 partis sont enregistrés. Lors des dernières élections en 2006 ont été 273 partis enregistrés 69 partis remportent des sièges à l'Assemblée. Depuis qu'il est déjà venu dans la période des dernières élections aux changements dans la Constitution, il ya un risque que cela se produira dans l'avenir. Ainsi, lors des élections de cette année, contrairement aux élections de 2006, le futur président de la déjà riche pour la majorité simple des succès électoraux. Cela pourrait signifier que le nombre de parties que le président pourrait être élu avec seulement environ 20 pour cent. Un autre thème central est le processus de décentralisation qui n'existe pas. Prof Mabiala a souligné que la décentralisation des mécanismes d'accès à la RD Congo, puisque le pays est toujours un esprit qui prévaut de la centralisation.

L'animée séance de questions-réponses entre les intervenants et auditeurs impliqués, en particulier les questions concernant les élections, l'inscription des électeurs et de surveillance, mais aussi le rôle des femmes et des étudiants au sein des structures politiques.Prof Mabiala souligné que les femmes sont actuellement quasiment pas de place dans les partis politiques et candidats ont donc très peu à une charge publique. Les étudiants agissent en tant que électorat désagréables et plus d'une sorte de jeu de balle entre les parties. En ce qui concerne les élections, il semble fort possible que ce ne sont pas gérés selon des standards internationaux. Donc, actuellement, la question de la justesse du processus d'inscription électorale dans laquelle des irrégularités sont déjà réclamé. L'actuel gouvernement le nie et a été seulement ce lundi par la force contre l'opposition de l'UDPS qui voulait donner une voix à leurs craintes, à Kinshasa.

La violente répression des manifestations étudiantes et la mort inexpliquée d'un éminent militants des droits humains Chebeya sont également des indicateurs clairs qu'il vient régulièrement à des violations des droits de la RD Congo. En ce qui concerne le résultat de l'imminence des élections, a souligné le professeur Mabiala Weibezahl et que l'actuel président Kabila est attendu pour décider du choix pour eux-mêmes. Le gouvernement congolais a annoncé qu'il allait acquérir 60 pour cent (en 2006 seulement 10 pour cent) du coût des élections, toutefois, est de critique, car la longue souffrance des élections municipales et provinciales jusqu'à présent justifiée par le manque d'argent, n'ont pas été réalisées. Les deux orateurs ont souligné la grande influence de la population, en 2006, le taux de participation était de 70,4 pour cent. Une majorité de la population sont moins bien lotis aujourd'hui qu'avant 2006 et pourrait donc ce mécontentement reflète assez bien dans les élections. Que le malaise RD Congo la plus probable avec avant, pendant et après le dépouillement des élections doit être déjà montré les troubles mentionnés ci-dessus cette semaine, le professeur et Mabiala Tinko Weibezahl témoin direct.

Entretien avec Tshisekedi candidat aux élections présidentielles à Berlin par Dominic Johnson

Etienne Tshisekedi, probablement à l'opposition la plus ancienne et tenace de la République démocratique du Congo et du Zaïre, avant une tournée, actuellement en Amérique du Nord et en Europe afin de mobiliser la communauté internationale et la diaspora congolaise et un regard plus critique sur les préparatifs pour les élections prévues au Congo le 28 La demande de novembre. Il veut participer à cette élection pour la première fois en tant que candidat aux élections présidentielles - en 2006 avait son UDPS parti (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) ont boycotté non seulement les élections, mais même que l'inscription des électeurs, et cela, sans doute la victoire du président Joseph Kabila au second tour, cette erreur ne l' UDPS, qui se considère comme le noyau de l'opposition démocratique, pas maintenant répéter.Durant son séjour à Berlin le 6 et 7 Juillet Tshisekedi a également parlé avec le Taz, après un dîner à Charlottenburg. Voici les extraits importants de la conversation.

- Quelle est votre impression de l'attitude de la communauté internationale pour les prochaines élections au Congo?

- "J'ai découvert une détermination à tous de soutenir une élection démocratique et transparente. Nous sommes conscients du fait qu'ils ont juste utilisé 2006 Kabila. Mais aujourd'hui, avec les résultats de l'administration Kabila, ils ont compris qu'ils ont fait une erreur à l'époque.Non pas qu'ils aient maintenant décidé de me soutenir - mais ils veulent laisser au peuple congolais de choisir librement leurs dirigeants. Kabila prépare la fraude à la prochaine élection et je les exhorte (la communauté internationale) pour faire pression sur Kabila pour qu'il puisse choisir librement et en toute transparence. "

- Quel genre de pression?

- «La communauté internationale a un intérêt financier dans la préparation des élections. Vous devriez exploiter cette pression. "

- Par exemple, la nouvelle résolution de l'ONU 1991, qui a prolongé le mandat de la MONUSCO et impose des exigences concernant le choix de la préparation?

- «J'ai été aussi une question que le Conseil de sécurité a prorogé le mandat et les questions de sécurité s'étend à tous les électeurs pour assurer la sécurité. MONUSCO devraient être plus impliqués dans le processus électoral. "

- N'est-il pas une certaine fatigue dans le Congo-de la communauté internationale, après avoir été embauché en 2006 comme fort et est déçu aujourd'hui?

- "Je suis content de ce sentiment, parce qu'elle prouve que le peuple congolais sont prêts. Avant, il était immature, comme un enfant.Aujourd'hui, il n'a pas besoin d'un tuteur plus. "

- Il ya quelques jours il y avait de la violence dans le milieu de Kinshasa, comme militants de l'UDPS sur la rue principale en face du bâtiment de la Commission électorale INEC Commission a démontré. Quel est le problème entre l'UDPS et la CENI?

- "La Commission électorale indépendante se qualifie, mais il n'est pas.Ngoy (son président) est un parent proche de Kabila et le co-fondateur du PPRD (parti de Kabila). Quand il était à la tête de la Commission électorale n'est pas libre pour une opération électorale indépendante.L'UDPS a été dénoncé à la CENI d'un mémorandum que la fraude et la discrimination dans les régions UDPS certains membres refoulés parce qu'ils n'ont pas de carte de choix 2006; bastions UDPS sont dans les centres d'inscription souvent très loin. Tout cela est l'œuvre de la CENI.La loi dit qu'il doit y avoir une liste d'électeurs par circonscription et des bureaux de vote, afin que chacun puisse voir si son nom. Mais nulle part ces listes. La CENI se comporte comme si elle était contre l'UDPS ».

- Est-il trop tard pour changer quelque chose?

- "Non, ce n'est pas trop tard. Nous ne permettrons pas que cela reste ainsi. L'UDPS va faire contre la fraude, ce qu'ils peuvent. Mon parti doit s'assurer que le processus soit transparent. "

- Et s'il ya fraude, ce sera l'UDPS?

- «Nous continuons le processus. Mais si Kabila remporte cette élection alors nous ne l'accepterons pas. "

- Alors, vous venez à tout prix à voter?

- «Nous ne pouvons pas rivaliser. Le mandat de Kabila expire le 6Décembre. Le Congo est une jungle, il n'ya pas de confiance, Kabila doit aller à la conjoncture économique s'améliore et les investisseurs à venir au peuple congolais d'être le travail. "

- Donc, ne pas boycotter les élections?

- «Oui. Nous ne pouvons pas le boycott. "

- Mais comment pouvez-vous gagner? L'opposition à Kabila est divisé et il n'ya qu'un seul tour de scrutin.

- «Nous avons déjà conclu un accord sur le principe d'unité, une plateforme pour un candidat commun. Mais jusqu'ici nous n'avons pas. "

- Voulez-vous retirer en faveur d'un candidat de l'opposition commune?

- "Il n'est pas question que je soutiens un autre candidat. Je me suis battu 30 ans pour la démocratie. Seuls l'UDPS ne peut remplacer le régime actuel. Il n'est pas question que je retire ma candidature, afin d'aider quelqu'un d'autre. "

- Et si d'autres voient pour eux-mêmes de la même façon?

- «Nous ne devons pas à tout prix un candidat commun. Vous pouvez avoir plusieurs candidats et décider de la population congolaise. Nous n'avons pas peur de plusieurs candidats. "

- Avez-vous parlé avec Jean-Pierre Bemba (qui est actuellement jugé à La Haye)?

- «Je vais lui rendre visite à La Haye."

- Que pensez-vous de l'état civil Kemerhe (qui rend la campagne électorale déjà dans l'Est du Congo contre Kabila)?

- "Dans d'autres pays, il est pris très au sérieux. Dans le pays même, nous ne croyons pas en lui. Il a fabriqué Kabila. Il doit d'abord prouver qu'il est un dissident. "

- Yat-il une ligne rouge quand il s'agit de la participation aux élections?

- «Après le sixième Joseph Kabila en Décembre doit être un citoyen comme tout le monde. J'ai déjà parlé du phénomène tunisien et égyptien.Il n'est pas impossible que le peuple de prendre le

 processus lui-même, et je ne crois pas que Joseph Kabila serait en mesure d'empêcher l'expression de la volonté populaire. "

Source :http://blogs.taz.de

Le viol comme arme de guerre, Les attaques se produisent de manière systématique et planifiée à l'avance.

L'année dernière en République démocratique du Congo de viols de masse commis dans l'avis de l'ONU pourraient constituer des crimes contre l'humanité. Les attaques ont été planifiées à l'avance et se sont engagés d'une manière systématique et ciblée pourquoi il pourrait être considéré comme un crime contre l'humanité et crimes de guerre, a déclaré dans un rapport  par les enquêteurs de l'ONU  .

Les viols ont été commis entre fin Juillet et début août dans 13 villages dans la région de Walikale dans la province du Nord Kivu. Les victimes comprennent un total de 387 personnes, dont environ 300 femmes et plusieurs hommes et d'enfants. En outre, plus de 900 maisons et 40 magasins ont été pillés, plus d'une centaine de civils ont également été enlevés et forcés à travailler. L'ONU fait un groupe de 200 hommes pour responsable des actes, qui se compose de membres des forces rebelles hutus rwandais Démocratique pour la Libération du Rwanda (FDLR), milices Maï-Maï et les partisans de l'Armée déserte colonel Nsengiyumva Emmanuel.

Viole du droit international

Les assaillants ont utilisé le viol comme arme de guerre et donc violé le droit international pour protéger les civils, les enquêteurs ont dit dans le rapport. Seul un membre des milices Maï-Maï avaient été arrêtés en relation avec les incidents. Le gouvernement doit tenir les agresseurs responsables et de s'assurer que les victimes et les témoins soient protégés, a déclaré l'ONU des droits humains Commissaire Navi Pillay. Enquêtes avait déjà été réglée par crainte pour la sécurité des victimes et des représailles.

Le viol de masse est un problème récurrent au Congo.Cependant, les auteurs ne sont pas seulement les rebelles, mais les membres des troupes gouvernementales. Seules 248 femmes en Juin auraient été violées par des soldats dans la province du Sud Kivu. Le U. S. Département d'Etat a déclaré mercredi, avec les autorités de la République démocratique du Congo, les ONG locales et internationales afin de recueillir les informations nécessaires afin que le délinquant peut être condamné. Le gouvernement congolais doit ouvrir une enquête exhaustive et de poursuivre les responsables soient poursuivis.