samedi, juillet 23, 2011

A cinq mois avant les élections présidentielles en République démocratique du Congo, la Fondation Konrad Adenauer en collaboration avec la Fondation allemande pour l'Afrique pour la discussion technique sur l'évolution politique actuelle en RDC invités. Les conférenciers suivants parlé de l'Afrique experts Hartwig Fischer MP, le professeur Dr Mabiala Mantuba-Ngoma, un professeur d'anthropologie à l'Université de Kinshasa et Tinko Weibezahl, chef du bureau de la KAS en RD Congo.



Éditeur: Konrad-Adenauer-Stiftung eV


De gauche à droite: Hartwig Fischer député, Dr. Mabiala Mantuba-Ngoma, Tinko Weibezahl (Photo © Arnold EV / Marit)
De gauche à droite: Hartwig Fischer député, Dr. Mabiala Mantuba-Ngoma, Tinko Weibezahl (Photo © Arnold EV / Marit)





Selon Weibezahl est l'un des plus grands problèmes auxquels le pays qui est encore très pauvre et l'infrastructure du conflit en cours. De grandes parties du pays sont coupées liaisons de transport et ont peu ou pas d'eau acceptable et la fourniture d'électricité. La région de l'Est du Congo reste dans les mains des milices et est considéré comme pacifié. En ce qui concerne les élections Weibezahl souligné que ces n'avait pas encore décidé, comme le président Joseph Kabila par Etienne Tshisekedi, qui sont rentrés d'exil au chef de l'opposition UDPS, a reçu un adversaire fort.
Dr. Mabiala Mantuba-Ngoma a parlé du très discuté constitution congolaise, qui à bien des égards, le nachstünde allemand dans quoi que ce soit, mais je ne vais pas être mis en œuvre en RD Congo dans la réalité. En ce qui concerne le système des partis politiques dans la République démocratique du Congo a souligné Mabiala le problème de la fragmentation. Dim. actuellement 305 partis sont enregistrés. Lors des dernières élections en 2006 ont été 273 partis enregistrés 69 partis remportent des sièges à l'Assemblée. Depuis qu'il est déjà venu dans la période des dernières élections aux changements dans la Constitution, il ya un risque que cela se produira dans l'avenir. Ainsi, lors des élections de cette année, contrairement aux élections de 2006, le futur président de la déjà riche pour la majorité simple des succès électoraux. Cela pourrait signifier que le nombre de parties que le président pourrait être élu avec seulement environ 20 pour cent. Un autre thème central est le processus de décentralisation qui n'existe pas. Prof Mabiala a souligné que la décentralisation des mécanismes d'accès à la RD Congo, puisque le pays est toujours un esprit qui prévaut de la centralisation.
L'animée séance de questions-réponses entre les intervenants et auditeurs impliqués, en particulier les questions concernant les élections, l'inscription des électeurs et de surveillance, mais aussi le rôle des femmes et des étudiants au sein des structures politiques.Prof Mabiala souligné que les femmes sont actuellement quasiment pas de place dans les partis politiques et candidats ont donc très peu à une charge publique. Les étudiants agissent en tant que électorat désagréables et plus d'une sorte de jeu de balle entre les parties. En ce qui concerne les élections, il semble fort possible que ce ne sont pas gérés selon des standards internationaux. Donc, actuellement, la question de la justesse du processus d'inscription électorale dans laquelle des irrégularités sont déjà réclamé. L'actuel gouvernement le nie et a été seulement ce lundi par la force contre l'opposition de l'UDPS qui voulait donner une voix à leurs craintes, à Kinshasa.
La violente répression des manifestations étudiantes et la mort inexpliquée d'un éminent militants des droits humains Chebeya sont également des indicateurs clairs qu'il vient régulièrement à des violations des droits de la RD Congo. En ce qui concerne le résultat de l'imminence des élections, a souligné le professeur Mabiala Weibezahl et que l'actuel président Kabila est attendu pour décider du choix pour eux-mêmes. Le gouvernement congolais a annoncé qu'il allait acquérir 60 pour cent (en 2006 seulement 10 pour cent) du coût des élections, toutefois, est de critique, car la longue souffrance des élections municipales et provinciales jusqu'à présent justifiée par le manque d'argent, n'ont pas été réalisées. Les deux orateurs ont souligné la grande influence de la population, en 2006, le taux de participation était de 70,4 pour cent. Une majorité de la population sont moins bien lotis aujourd'hui qu'avant 2006 et pourrait donc ce mécontentement reflète assez bien dans les élections. Que le malaise RD Congo la plus probable avec avant, pendant et après le dépouillement des élections doit être déjà montré les troubles mentionnés ci-dessus cette semaine, le professeur et Mabiala Tinko Weibezahl témoin direct.

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