mardi, juillet 12, 2011

Le viol comme arme de guerre, Les attaques se produisent de manière systématique et planifiée à l'avance.


L'année dernière en République démocratique du Congo de viols de masse commis dans l'avis de l'ONU pourraient constituer des crimes contre l'humanité. Les attaques ont été planifiées à l'avance et se sont engagés d'une manière systématique et ciblée pourquoi il pourrait être considéré comme un crime contre l'humanité et crimes de guerre, a déclaré dans un rapport  par les enquêteurs de l'ONU  .
Les viols ont été commis entre fin Juillet et début août dans 13 villages dans la région de Walikale dans la province du Nord Kivu. Les victimes comprennent un total de 387 personnes, dont environ 300 femmes et plusieurs hommes et d'enfants. En outre, plus de 900 maisons et 40 magasins ont été pillés, plus d'une centaine de civils ont également été enlevés et forcés à travailler. L'ONU fait un groupe de 200 hommes pour responsable des actes, qui se compose de membres des forces rebelles hutus rwandais Démocratique pour la Libération du Rwanda (FDLR), milices Maï-Maï et les partisans de l'Armée déserte colonel Nsengiyumva Emmanuel.
Viole du droit international
Les assaillants ont utilisé le viol comme arme de guerre et donc violé le droit international pour protéger les civils, les enquêteurs ont dit dans le rapport. Seul un membre des milices Maï-Maï avaient été arrêtés en relation avec les incidents. Le gouvernement doit tenir les agresseurs responsables et de s'assurer que les victimes et les témoins soient protégés, a déclaré l'ONU des droits humains Commissaire Navi Pillay. Enquêtes avait déjà été réglée par crainte pour la sécurité des victimes et des représailles.
Le viol de masse est un problème récurrent au Congo.Cependant, les auteurs ne sont pas seulement les rebelles, mais les membres des troupes gouvernementales. Seules 248 femmes en Juin auraient été violées par des soldats dans la province du Sud Kivu. Le U. S. Département d'Etat a déclaré mercredi, avec les autorités de la République démocratique du Congo, les ONG locales et internationales afin de recueillir les informations nécessaires afin que le délinquant peut être condamné. Le gouvernement congolais doit ouvrir une enquête exhaustive et de poursuivre les responsables soient poursuivis.

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