Etienne Tshisekedi, probablement à l'opposition la plus ancienne et tenace de la République démocratique du Congo et du Zaïre, avant une tournée, actuellement en Amérique du Nord et en Europe afin de mobiliser la communauté internationale et la diaspora congolaise et un regard plus critique sur les préparatifs pour les élections prévues au Congo le 28 La demande de novembre. Il veut participer à cette élection pour la première fois en tant que candidat aux élections présidentielles - en 2006 avait son UDPS parti (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) ont boycotté non seulement les élections, mais même que l'inscription des électeurs, et cela, sans doute la victoire du président Joseph Kabila au second tour, cette erreur ne l' UDPS, qui se considère comme le noyau de l'opposition démocratique, pas maintenant répéter.Durant son séjour à Berlin le 6 et 7 Juillet Tshisekedi a également parlé avec le Taz, après un dîner à Charlottenburg. Voici les extraits importants de la conversation.
- Quelle est votre impression de l'attitude de la communauté internationale pour les prochaines élections au Congo?
- "J'ai découvert une détermination à tous de soutenir une élection démocratique et transparente. Nous sommes conscients du fait qu'ils ont juste utilisé 2006 Kabila. Mais aujourd'hui, avec les résultats de l'administration Kabila, ils ont compris qu'ils ont fait une erreur à l'époque.Non pas qu'ils aient maintenant décidé de me soutenir - mais ils veulent laisser au peuple congolais de choisir librement leurs dirigeants. Kabila prépare la fraude à la prochaine élection et je les exhorte (la communauté internationale) pour faire pression sur Kabila pour qu'il puisse choisir librement et en toute transparence. "
- Quel genre de pression?
- «La communauté internationale a un intérêt financier dans la préparation des élections. Vous devriez exploiter cette pression. "
- Par exemple, la nouvelle résolution de l'ONU 1991, qui a prolongé le mandat de la MONUSCO et impose des exigences concernant le choix de la préparation?
- «J'ai été aussi une question que le Conseil de sécurité a prorogé le mandat et les questions de sécurité s'étend à tous les électeurs pour assurer la sécurité. MONUSCO devraient être plus impliqués dans le processus électoral. "
- N'est-il pas une certaine fatigue dans le Congo-de la communauté internationale, après avoir été embauché en 2006 comme fort et est déçu aujourd'hui?
- "Je suis content de ce sentiment, parce qu'elle prouve que le peuple congolais sont prêts. Avant, il était immature, comme un enfant.Aujourd'hui, il n'a pas besoin d'un tuteur plus. "
- Il ya quelques jours il y avait de la violence dans le milieu de Kinshasa, comme militants de l'UDPS sur la rue principale en face du bâtiment de la Commission électorale INEC Commission a démontré. Quel est le problème entre l'UDPS et la CENI?
- "La Commission électorale indépendante se qualifie, mais il n'est pas.Ngoy (son président) est un parent proche de Kabila et le co-fondateur du PPRD (parti de Kabila). Quand il était à la tête de la Commission électorale n'est pas libre pour une opération électorale indépendante.L'UDPS a été dénoncé à la CENI d'un mémorandum que la fraude et la discrimination dans les régions UDPS certains membres refoulés parce qu'ils n'ont pas de carte de choix 2006; bastions UDPS sont dans les centres d'inscription souvent très loin. Tout cela est l'œuvre de la CENI.La loi dit qu'il doit y avoir une liste d'électeurs par circonscription et des bureaux de vote, afin que chacun puisse voir si son nom. Mais nulle part ces listes. La CENI se comporte comme si elle était contre l'UDPS ».
- Est-il trop tard pour changer quelque chose?
- "Non, ce n'est pas trop tard. Nous ne permettrons pas que cela reste ainsi. L'UDPS va faire contre la fraude, ce qu'ils peuvent. Mon parti doit s'assurer que le processus soit transparent. "
- Et s'il ya fraude, ce sera l'UDPS?
- «Nous continuons le processus. Mais si Kabila remporte cette élection alors nous ne l'accepterons pas. "
- Alors, vous venez à tout prix à voter?
- «Nous ne pouvons pas rivaliser. Le mandat de Kabila expire le 6Décembre. Le Congo est une jungle, il n'ya pas de confiance, Kabila doit aller à la conjoncture économique s'améliore et les investisseurs à venir au peuple congolais d'être le travail. "
- Donc, ne pas boycotter les élections?
- «Oui. Nous ne pouvons pas le boycott. "
- Mais comment pouvez-vous gagner? L'opposition à Kabila est divisé et il n'ya qu'un seul tour de scrutin.
- «Nous avons déjà conclu un accord sur le principe d'unité, une plateforme pour un candidat commun. Mais jusqu'ici nous n'avons pas. "
- Voulez-vous retirer en faveur d'un candidat de l'opposition commune?
- "Il n'est pas question que je soutiens un autre candidat. Je me suis battu 30 ans pour la démocratie. Seuls l'UDPS ne peut remplacer le régime actuel. Il n'est pas question que je retire ma candidature, afin d'aider quelqu'un d'autre. "
- Et si d'autres voient pour eux-mêmes de la même façon?
- «Nous ne devons pas à tout prix un candidat commun. Vous pouvez avoir plusieurs candidats et décider de la population congolaise. Nous n'avons pas peur de plusieurs candidats. "
- Avez-vous parlé avec Jean-Pierre Bemba (qui est actuellement jugé à La Haye)?
- «Je vais lui rendre visite à La Haye."
- Que pensez-vous de l'état civil Kemerhe (qui rend la campagne électorale déjà dans l'Est du Congo contre Kabila)?
- "Dans d'autres pays, il est pris très au sérieux. Dans le pays même, nous ne croyons pas en lui. Il a fabriqué Kabila. Il doit d'abord prouver qu'il est un dissident. "
- Yat-il une ligne rouge quand il s'agit de la participation aux élections?
- «Après le sixième Joseph Kabila en Décembre doit être un citoyen comme tout le monde. J'ai déjà parlé du phénomène tunisien et égyptien.Il n'est pas impossible que le peuple de prendre le
processus lui-même, et je ne crois pas que Joseph Kabila serait en mesure d'empêcher l'expression de la volonté populaire. "
Source :http://blogs.taz.de
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