Depuis des décennies, il ya l'impunité au Congo. Un rapport de l'ONU sur les crimes de guerre dans l'est du pays offre la possibilité de les combattre. Un poste de l'utilisateur
Il s'agit d'une occasion unique d'offrir à ces journées sont: la publication d'un attendu long rapport par la Organisation des Nations Unies sur la criminalité dans la République démocratique du Congo (RDC) est l'occasion pour une nouvelle analyse de l'histoire de la violence massive au Congo entre 1993 et 2003. Après le génocide au Rwanda voisin, où la portée et la nature trop souvent été négligée. Dans le même temps, la publication aussi contribuer à la paix insaisissable et fragile dans cette région pour corriger les conditions.
Le rapport révèle l'ampleur et la nature de la violence dans le conflit au Congo. Les femmes et les enfants sur le vol retour ont été attirés dans le camp et exécuté. Cela seul devrait être suffisant pour alimenter un tollé international, et pour lancer la recherche des responsables pour qu'ils puissent être tenus responsables. En effet, pourrait les crimes documentés, ils devraient être travaillé par un tribunal compétent en tant que crimes de guerre, crimes contre l'humanité ou de génocide se trouvent.Depuis plusieurs décennies, il ya l'impunité en RDC. Ce rapport doit donc d'urgence l'attention du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Ses membres devraient chercher avant tout à mettre un terme à l'impunité en RDC. Le soutien d'un dialogue national congolais sur le rapport constituerait une première étape.
L'analyse de l'histoire de l'impunité au Congo serait une aide supplémentaire pour établir la paix et une sécurité durables dans la région.Depuis le début de l'année 2009, tant vanté de convergence entre le Président du Rwanda, Paul Kagame, et le Président de la RDC, Joseph Kabila, la protection de la population congolaise ne s'est pas améliorée. La preuve de viols perpétrés récemment à plus de 500 personnes près de Walikale, dans quelques jours, plus que clair.
Bien que les deux chefs de file dans certains domaines, en étroite collaboration, par exemple par l'intégration des rebelles du CNDP (Congrès national pour la défense du peuple), l'armée du général tutsi Laurent Nkunda dans l'armée congolaise, ou dans des opérations militaires conjointes contre les groupes armés et l'exploitation des ressources congolaises. Mais tout ce qui peut inclure ces accord secret et sans doute temporaire, ils semblent parvenir à des résultats. Plusieurs groupes armés continuent de se battre sur les ressources naturelles dans la région, qui reste extrêmement instable.
Pire encore, les miliciens hutus rwandais des FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda), dont les dirigeants ont été en 1994 est en partie responsable du génocide au Rwanda.Ses combattants sont et seront sans aucun doute une nuisance pour la population du Rwanda et la RDC. Le rapport de l'ONU a également documenté les tactiques criminelles et aveugle des forces rwandaises et ougandaises de la sécurité pendant les guerres de deux Congo.Avant que les Etats puissants ont fermé les yeux de nombreux jusqu'ici.
La raison: la culpabilité collective de l'échec de la communauté internationale pendant le génocide au Rwanda. Et donc, non pas les intérêts des voisins congolais ont été interrogés, à intervenir dans le conflit. Ce sont en effet la lutte contre les FDLR, mais ils ont utilisé simultanément les faveurs de l'heure d'établir un pied ferme dans les régions minières riches du Congo.
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