samedi, juillet 01, 2006

En memoire de Patrice Lumumba

Patrice Emery Lumumba (1925-1961) La dernière lettre de Patrice LumumbaEssayant de gagner la province du Kasaï contrôlée par ses partisans fin novembre 1960, Lumumba est capturé. De sa prison, il écrit à sa femme Pauline. Ma compagne chérie,Je t’écris ces mots sans savoir s’ils te parviendront, quand ils te parviendront et si je serai en vie lorsque tu les liras. Tout au long de ma lutte pour l’indépendance de mon pays, je n’ai jamais douté un seul instant du triomphe final de la cause sacrée à laquelle mes compagnons et moi avons consacré toute notre vie. Mais ce que nous voulions pour notre pays, son droit à une vie honorable, à une dignité sans tache, à une indépendance sans restrictions, le colonialisme belge et ses alliés occidentaux – qui ont trouvé des soutiens directs et indirects, délibérés et non délibérés, parmi certains hauts fonctionnaires des Nations-Unies, cet organisme en qui nous avons placé toute notre confiance lorsque nous avons fait appel à son assistance – ne l’ont jamais voulu. Ils ont corrompu certains de nos compatriotes, ils ont contribué à déformer la vérité et à souiller notre indépendance. Que pourrai je dire d’autre ? Ce n'est pas ma personne qui compte, c'est le Congo Que mort, vivant, libre ou en prison sur ordre des colonialistes, ce n’est pas ma personne qui compte. C’est le Congo, c’est notre pauvre peuple dont on a transformé l’indépendance en une cage d’où l’on nous regarde du dehors, tantôt avec cette compassion bénévole, tantôt avec joie et plaisir. Mais ma foi restera inébranlable. Je sais et je sens au fond de moi même que tôt ou tard mon peuple se débarassera de tous ses ennemis intérieurs et extérieurs, qu’il se lèvera comme un seul homme pour dire non au capitalisme dégradant et honteux, et pour reprendre sa dignité sous un soleil pur.Nous ne sommes pas seuls. L’Afrique, l’Asie et les peuples libres et libérés de tous les coins du monde se trouveront toujours aux côtés de millions de congolais qui n’abandonneront la lutte que le jour où il n’y aura plus de colonisateurs et leurs mercenaires dans notre pays. A mes enfants que je laisse, et que peut-être je ne reverrai plus, je veux qu’on dise que l’avenir du Congo est beau et qu’il attend d’eux, comme il attend de chaque Congolais, d’accomplir la tâche sacrée de la reconstruction de notre indépendance et de notre souveraineté, car sans dignité il n’y a pas de liberté, sans justice il n’y a pas de dignité, et sans indépendance il n’y a pas d’hommes libres.

la campagne électorale s'ouvre dans la violence . . .

L'ouverture de la première campagne électorale pluraliste depuis l'indépendance de la République démocratique du Congo a été marquée vendredi par la mort de treize personnes, dont un soldat, lors de violences, selon une organisation de protection des droits de l'homme. Le soldat a été tué par des manifestants dans la ville de Matadi, (ouest). Les militaires ont riposté en tirant contre la foule, tuant douze personnes, a rapporté Christian Malidini, de l'Association des défenseurs des Droits de l'homme du Congo. Le militant, interrogé par téléphone, n'a pas pu fournir plus de détails et les autorités de la ville n'ont pas pu être jointes dans l'immédiat pour confirmer les faits. Dans la province de la capitale Kinshasa, la crainte de voir des violences perturber l'ouverture officielle de la campagne en vue des élections présidentielle et législatives a poussé le gouverneur à interdire les rassemblements. La plupart des commerces et des écoles sont également resté fermées. L'interdiction n'a pas empêché des jeunes gens de se regrouper dans les rues, avant l'intervention de la police anti-émeute. Les élections, initialement prévues à l'été 2005, ont été plusieurs fois repoussées pour des raisons politiques ou logistiques. Elles doivent se tenir le 30 juillet et opposeront plus de trente candidats à la présidentielle; plusieurs milliers pour les quelque 600 sièges du Parlement. L'actuel président Joseph Kabila est le favori du scrutin, mais il devrait avoir du mal à rassembler une majorité parlementaire autour de lui. Les 62 millions de Congolais espèrent que ces élections permettront d'apporter la paix dans un pays toujours secoué par les suites de la guerre civile qui a fait quelque quatre millions de mort depuis 1997 et le départ forcé de Mobutu Sese Seko. Plus de 17.000 casques bleus se trouvent dans le pays, en particulier dans l'est, encore marqué par des combats.

vendredi, juin 30, 2006

Les dangers d'une crise politique au Congo

La transition issue de l'accord global et inclusif était prévue pour 2 ans, c'est – à – dire du 30 juin 2003 au 30 juin 2005 avec la possibilité de prolongation de 2 fois 6 mois, soit jusqu'au 30 juin 2006 (Accord global et inclusif, chap. IV). -Malgré la promulgation de la Constitution de la 3ème République qui prévoit dans son article 222, la continuité des institutions de la transition jusqu'à l'installation effective des institutions correspondantes de la 3ème République, des controverses naissent dans la classe politique et les milieux intellectuels du pays au sujet de la

qualification de la période après le 30 juin 2006, surtout que le mandat semble sans limite. Cette situation est envenimée par des phénomènes politiques entre autres, la nature militaire de certains candidats aux

élections présidentielles et les poursuites par la justice internationale de quelques autres, l'exclusion de certaines formations politiques, l'insécurité à l'Est du pays, les tentatives de privatisation et de manipulations de certains éléments armés, etc. Une crise politique pointe à l'horizon, mais elle n'est pas insurmontable.

Qu'arrivera – t –il à la République Démocratique du Congo après le 30 juin 2006 ?

jeudi, juin 08, 2006

Qui allez-vous voter?
Joseph kabila
Jean pierre bemba



résultats »

mardi, juin 06, 2006

Deuxième tour des éléctions présidentilles en R.D.Congo

Imaginons, au deuxième tour des élections présidentielles en République démocratique du Congo Joseph Kabila contre Jean pierre Bemba. Pour qui Allez-vous voter???. Vos réactions

lundi, juin 05, 2006

Extrait "ENVOYÉ SPÉCIAL" du 18 mai 2006

Aperçu de la situation Les exactions commises à Bukavu démontrent ce qui peut arriver lorsque les crimes du passé restent impunis. Depuis la mise en place du Gouvernement d’Unité Nationale à Kinshasa en juin 2003, la paix reste un vain mot pour les régions de l’est de la République Démocratique du Congo (RDC), particulièrement à Bukavu et dans la région étendue du Kivu, ainsi que dans l’Ituri et au Nord Katanga. Les combats qui ont eu lieu récemment à Bukavu ne sont que les derniers événements marquant une détérioration des conditions de sécurité et une longue série de violations massives du droit international humanitaire et des droits de l’homme. Pour des millions de citoyens congolais qui vivent dans la région orientale très peuplée et qui sont confrontés à la lutte quotidienne pour la survie, la paix n’existe pas.

RDCongo : reprise de combats aux environs de Bukavu

KINSHASA, 1er juin , Des combats ont repris mardi matin aux environs de l'aéroport de Bukavu, chef-lieu de la province frontalière du Sud Kivu dans l'est de la RDCongo, ont confirmé des sources de la Mission de l'Onu en RDCongo (Monuc). Des échanges de tirs d'armes légères et lourdes opposent des militaires de la 10e région militaire des Forces armées de la RDCongo (FARDC) fidèles au président Joseph Kabila, aux dissidents du Rassemblement congolais pour la démocratie (RCD, ex-rebellion) commandés par le général Laurent Nkunda de la 8e région militaire basée à Goma, chef-lieu de la province voisine du Nord Kivu. Lundi dans la petite matinée, "plusieurs milliers" de dissidents du RCD ont lancé une offensive de grande ampleur contre les FARDC et les ont mises en déroute. L'aéroport de Bukavu est ainsi tombé sous contrôle des dissidents. Le porte-parole de la Mission de l'Onu en RDCongo à Bukavu, Sébastien Lapierre, a appelé sur la radio Okapi de la Monuc les belligérants au cessez-le-feu immédiat. Il a averti que les populations civiles étaient à nouveau mises en danger. Fin

mercredi, mai 24, 2006

INVITATION

Conférence sur la Situation Actuelle en République Démocratique du Congo Aarau,le 03 mai 2006 Chère Madame,Chèr Monsieur, Nous avons le plaisir de vous convier à notre conférence sur la situation actuelle en République Démocratique du Congo. Aarau, Samedi 03 Juin 2006, de 13h00 à 22h00, dans le Gemeinschaftszentrum Telli, Girixweg 12, Cette conférence, qui sera animée par des intellectuelles congolais(es) et suisses, vous apportera des éclaircissements sur la situation dégradante et critique de la République Democratique du Congo, elle donnera des analyses sur la situation poplitique et veut natamment en sensisibiliser les congolais(es) en Suisse. Elle a aussi pour but de relever le défi des immigré(e)s congolais(es) en suisses alémanique face à l'intégration et la langue. Cette conférence est une initiative de la communauté congolaise en Argovie en collaboration avec CARITAS Aargau et l'Association Netzwerk Asyl Aarau. Nous vous remercions de confirmer rapidement votre participation à cette conférence. Dans cette attente, nous nous prions d'agréer, Cère Madame,Cher Monsieur, l'assurance de nos sentiments dévoués et respectueux. Pour le groupe Préparatoire : Jimmy Mpezo Madilamba Wöschnauring 21, 5000 Aarau. Tél : 062-534 07 22 / 079 - 821 49 43. E-mail : mpezoj@yahoo.fr

mardi, mai 02, 2006

La presidentielle reportée au 30 juillet prochain ...

Kinshasa, 01/05 - La Commission électorale indépendante (CEI) de la RDCongo a annoncé dimanche soir que le premier tour de la présidentielle et les législatives ont été reportées du 18 juin au 30 juillet prochain

dimanche, avril 30, 2006

Crise sociale En R.D.Congo...

L'instabilité politique, l'incohérence des stratégies et la mauvaise gouvernance ont influé négativement sur le bien-être des populations congolaises. Cette situation a suscité une dynamique communautaire pour les populations se prenant elles-mêmes en charge là où l'Etat a disparu. Les conséquences sociales de cette dégradation générale sont exprimées par l'Indicateur de Développement Humain qui classe la République Démocratique du Congo en 155ème place sur 173 pays. Pour répondre à l'urgence de la crise sociale et à la fragilité du secteur public, les opérateurs de coopération s'attellent à promouvoir un secteur privé productif pour appuyer la reprise de la croissance. Le dynamisme des entrepreneurs congolais a fait ses preuves : il a en effet permis le maintien d'une activité économique malgré un contexte difficile et en dehors de tout appui des pouvoirs publics.

vendredi, avril 28, 2006

L’après-élection

Comment sanctionner les prédateurs professionnels du patrimoine de l’Etat et les pick pockets attitrés du denier public ? A cette problématique, car c’en est vraiment une, aucun mécanisme n’a été trouvé. Ni par le parlement ni par le gouvernement. Ni même par le Comité international d’accompagnement de la transition (Ciat). Conséquence logique : le peuple se contente de la critique stérile des toubabs qui dénoncent la mal gouvernance chronique des animateurs des institutions mais, curieusement, sont aussitôt comme frappés d’amnésie. Comme c’est bizarre ! Il a été rapporté qu’à Lodja, un territoire forestier au Nord du Kasaï oriental, les contribuables ont intériorisé le débat. Ils viennent de décider, et le font savoir à qui de droit, que plus aucun agent percepteur d’impôts n’est autorisé à faire du porte à porte pour collecter ce à quoi le trésor public est habitué. Les citoyens de Lodja craignent que l’argent de l’impôt ne passe, sans trace, dans les poches des candidats qui se bousculent pour devenir qui député national, qui député provincial, qui gouverneur de province ou chef de secteur. Rassurez-vous ! Les Congolais de Lodja n’entrent pas en rébellion contre les pouvoirs publics. Ils se soulèvent seulement contre la boulimie des voleurs de l’argent de l’Etat. Ils sont excédés par l’impunité dans laquelle baignent les fonctionnaires et les politiciens véreux. Pour prouver leur bonne foi et témoigner de leur patriotisme, ils promettent de s’acquitter de tous les impôts et taxes dus au trésor public aussitôt que seront mis en place les animateurs issus des urnes. Il n’y a pas que Lodja qui impose la bonne gouvernance aux gouvernants de la Rdc. La coopération internationale a d’ailleurs montré la voie. En conditionnant l’ouverture de nouveaux projets, donc de nouveaux financements, à la mise sur pied des institutions de la 3ème République, les partenaires bilatéraux et multilatéraux de la Rdc ont inspiré plus d’un observateur. La même prudence est observée dans les milieux des affaires. Nombre de businessmen européens et asiatiques débarquent fréquemment à Kinshasa. Ils n’investissent pas tout de suite. Ils prospectent le marché et s’en retournent chez eux, attendant l’issue des élections congolaises pour se décider. C’est cet attentisme qui devrait interpeller les consciences : l’après-élection devrait être plus serein que l’avant. Cela garantirait le début de nouveaux comportements dans le chef des politiciens. Et des percepteurs d’impôts.

Présidentielles en RD Congo : Les plus riches déjà en campagne

Alors qu'on ne connaît ni la date du scrutin, initialement prévu en juin, ni celle du début de la campagne électorale, les candidats à la présidentielle en Rd Congo ont déjà commencé leur propagande. Essentiellement ceux qui ont les moyens de se déplacer et de passer dans les médias. En République démocratique du Congo, les 32 candidats à l’élection présidentielle, qui devrait se tenir d'ici fin juin, sont déjà en campagne. Pourtant, ni la date du scrutin ni celle de l'ouverture de la campagne électorale ne sont encore fixées. Depuis la publication de la liste définitive des candidats, le 15 avril, par la commission électorale indépendante (Cei), règne, en effet, une totale confusion sur la date à laquelle les candidats peuvent officiellement entrer en campagne. Selon l’article 28 de la loi électorale, celle-ci démarre 30 jours avant le scrutin et selon l'article 110 de cette même loi, 24 heures après la publication de la liste définitive des candidats… La Cei demande à la Cour suprême de justice, la plus haute instance judiciaire du pays, de trancher. Pourtant, dans les médias et sur le terrain, les présidentiables tentent déjà de convaincre les électeurs. Dans un pays grand comme quatre fois la France, quatre-vingt fois la Belgique, sans voies de communication fiables, de gros moyens sont indispensables pour les atteindre. Tous les candidats ne sont pas logés à la même enseigne. Certains disposent de fortunes confortables. Il s'agit d'une part des membres du gouvernement ou des institutions publiques au pouvoir depuis juin 2003, début de la période de transition. Dans cette catégorie se trouvent le président sortant, Joseph Kabila, et trois des quatre vice-présidents : Jean-Pierre Bemba et Azarias Ruberwa, anciens chefs des rébellions soutenues par l’Ouganda et le Rwanda, et Arthur Zahidi Ngoma, ancien rebelle reconverti en opposant politique. On y trouve d'autre part, d'anciens mobutistes qui veulent revenir aux affaires : Pierre Pay-Pay, ancien gouverneur de la Banque centrale et plusieurs fois ministre des Finances sous Mobutu, Nzanga Mobutu, le fils du défunt président, ou encore Mokonda Bonza, un de ses directeurs de cabinet… A chacun sa télé Ces candidats nantis sont déjà présents dans tous les médias où ils apparaissent distribuant des dons et haranguant les foules à travers tout le pays. Une bonne moitié des présidentiables membres du gouvernement ou issus des mouvements rebelles (Joseph Kabila, Jean-Pierre Bemba, Nzuzi wa Mbombo, Roger Lumbala) disposent d'ailleurs de leurs propres médias. Les autres ont des moyens financiers suffisants pour se faire entendre dans les autres médias privés et commerciaux. Quant à la Radiotélévision publique (Rtnc), elle est contrôlée par les tenants du pouvoir qui en profitent pour passer les messages politiques. Tous les autres présidentiables ne peuvent compter que sur les nouvelles règles édictées par la Haute autorité des médias (Ham) sur l’égal accès des partis aux médias publics et privés. La Ham fait actuellement une tournée "pédagogique" des chaînes de radios et de télévision de Kinshasa, pour rappeler à tous, leur strict respect. Mais saura-t-elle les faire respecter ? Les candidats qui ne sont pas dans les cercles du pouvoir ne peuvent, eux, compter que sur leurs propres moyens. C’est le cas d’anciens chefs de petits mouvements rebelles qui ont contrôlé de vastes territoires riches en minerais : Mbusa Nyamwisi occupait l’Extrême-Nord du Nord-Kivu, à la frontière avec l’Ouganda ; Roger Lumbala était le patron de l’une des milices tribales de l’Ituri, au Nord-Est. Ils ont alors accumulé des richesses dont ils comptent se servir pour la campagne. Beaucoup moins riches, du moins en apparence, des hommes d’Église (pasteurs, prêtres ou prophètes) croient que l'heure a sonné pour eux de présider aux destinées du pays : le pasteur Bonioma et le prophète Mukungubila se sont présentés comme indépendants tandis que l’abbé Banyingila, qui a postulé sans l'autorisation de son évêque de Kananga, au centre du pays, représente l’Alliance des paysans et écologistes. Ils ont tous réussi à payer la lourde caution de 50 000 $ U$ exigée des candidats à la présidentielle, mais ne disposent pas de grand-chose pour mener campagne. Ils sont pour l’instant mal connus de la majorité de la population, n’étant présents ni sur le terrain, ni dans les médias. C'est aussi le cas d'Antoine Gizenga du Parti lumumbiste (Palu), 78 ans, sans doute le plus vieil opposant depuis l’indépendance du pays en 1960. Ses partisans se sont cotisés pour payer la caution, peut-être le feront-ils encore pour financer la campagne électorale. Les autres candidats dont les sœurs Wivine et Marie-Thérèse N’landu, qui ont œuvré sous Mobutu, et la fille du tout premier président lors de l’indépendance, Justine Kasa-Vubu, dont personne ne connaît les moyens, restent très peu connus.

lundi, avril 24, 2006

Kinshasa 23 Avril 2006...

-- Le Parlement de la RDCongo a renvoyé dimanche la Commission électorale indépendante (CEI) à la Cour suprême de justice (CSJ) pour l'interpréter les articles 28 et 110 de la Loi électorale. Les rapporteurs de l'Assemblée nationale et du Sénat ont expliqué que les deux chambres n'étaient pas compétentes face à la confusion sur le déroulement de la campagne électorale. La CEI avait en effet introduit au Parlement une requête pour l'interprétation de ces articles qui fixent la durée de la campagne électorale, après que son rapporteur Dieudonné Minimo eut déclaré des propos causant de la confusion. La RDCongo attend cette année ses premières élections démocratiques depuis 45 ans, pour mettre fin à sa transtion commencée en juin 2003 à l'issue de plusieurs années de guerre. L'article 28 de la Loi électorale stipule que la campagne électorale est ouverte 30 jours au maximum avant la date du scrutin et s'achève 24 heures avant cette date. L'article 110 stipule que sans préjudice des dispositions de l'article 28, la campagne électorale est ouverte 24 heures après la publication de la liste définitive des candidats et prend fin 24 heures avant l'ouverture du scrutin. A cause du retard signalé dans le processus électoral en cours, le premier tour de la présidentielle ainsi que les législatives, initialement prévus pour le 18 juin prochain, ont été reportés à une date ultérieure à décider, bien que la liste définitive des candidats à la présidence de la République soit publiée par la CSJ. Fin

vendredi, avril 21, 2006

Pourquoi n'a-t-on jamais parlé de génocide en République démocratique du Congo ?

C'est la question que se pose Luc Kassenga, de Francfort en Allemagne.

Il en apprendra plus sur une guerre qui a tué 4 millions de Congolais depuis 1998.

Réalisatrice: Kathleen Royer - Texte et recherche: Dominique Fournier - Infographe: Patricia Dallaire

Gilles Gougeon
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